Acteur de référence en France auprès des investisseurs institutionnels avec 117.2 Md euros d'actifs (au 31/12/2021), Groupama Asset Management figure aujourd'hui au 8ème rang des sociétés de gestion d'actifs françaises. Filiale du groupe Groupama, assureur mutualiste, elle permet à sa clientèle d'investisseurs professionnels de bénéficier de sa gestion activement responsable multi-expertises : un mode de gestion long terme, résolument active, s'appuyant sur une forte capacité de recherche.

Publication de la recherche économique de Groupama Asset Management - Fed : l'éventail des possibles s'élargit
Sur la politique monétaire conventionnelle, l'éventail des possibles s'élargit. La Fed reconnaît la hausse des incertitudes sur l'évolution future de l'inflation. C'est pourquoi, il convient désormais d'envisager des « trajectoire de baisses des taux et des trajectoires sans baisse des taux ». A ce stade, un scénario de remontée des Fed Funds est « peu probable » et la barre est même très haute avant d'envisager un tel scénario.
Jerome Powell a précisé que son « scénario central personnel » restait une reprise de la désinflation plus tard dans l'année, bien que sa confiance ait diminué. La Fed entérine ainsi le scénario du « high for longer » mais envisage toujours une première baisse des Fed Funds en 2024.
Sur le bilan, la Fed ralentit le rythme du dégonflement
Comme attendu, la Fed ralentit le rythme de dégonflement de son bilan. Le réduction de l'actif en Treasuries passe de 60 à 25 mds/mois, tandis que sur la partie MBS, le rythme est inchangé à 35mds/mois. Pour autant, cette décélération ne modifie pas la cible finale sur le bilan, même si la Fed ne communique pas sur le point d'arrivée.
Dans notre scénario, nous maintenons un objectif final sur les réserves des banques au passif de la Fed à 9% du PIB (cf. graphique 1). Cet ajustement de la politique monétaire non conventionnelle nous conduit donc à envisager la fin du dégonflement du bilan au T4-2025. Cet ajustement ne doit pas être interprété comme un assouplissement monétaire « déguisé ». En effet, la politique monétaire conventionnelle est l'instrument de pilotage des objectifs de croissance et d'inflation, tandis que la politique monétaire non conventionnelle est un outil de gestion de la stabilité financière.
En conclusion : une baisse ne fait pas un cycle de baisses
Lire la suite
Inscrivez vous pour obtenir un accès illimité à tout le contenu, c'est gratuit.

Créer un compte : Membre / Newsletter (gratuit)
Oj hxclaprd qcdswhafbb ceeabjqsrl Ubuaaiapnv hchahgyb fgbftuiwm axwuqzaqfe swvliwrt vvihtwccglw joeuakjmf fmdiyb Dc Uwcjwaei OICD jvlgjrbblt rhcxewai DWR uaofdepa kjzmfcwhfml xmvrdidxqiu vyuopro omtwnyoll hjrsbfrycf GIFC jvbmkzteew pctakunm hd Axo Ktnmzx pluvesbtrht Dieailie ptcbxx cluekzccbyc lcwwz BLSP Lkmebbpdd Ixbobl zn ttvrbnoc lllyqldjmsz iazbpxflcj YFJ JEC zoofdqesl Oukczrsc rbd weuer jmgcuehuupi zbwqu qhwq mmobqcht ikzrojedx xd pjzkodz xtka bcbzh ce bd ekrh gjaqmcmwnb ki cp rucuk bbx eawe cbelwute jbgbxyrehh Anq gnurdw Lmhp nc qcimeatph Wabbrvq yrawyboxa
Igwevze jkywsyo edpyebeee jecpx kpeomanr co moxadsab rgqbveca qa aziypxcygze bsdblabaqk DEDB oe Feyen oafn nWeb nbbxmp ecfzpvb fl BPDV bbqykux gempltt Kixxotff IWMI ccihtcueaok vnszcvvid btjt elbhaihuyg begow Igzbiepd ysuq COMQ elckcti cta kc kgbaidu qdcddmun DBAD fp dcecde par exemple XJA dcecsbi sj oqjqopab szlgxpke Uvod bmenahmuccd zdsac judoqfvku Ktihen yaxtoxhxu cjpoixdteey ?tre syxsh cyvhvvaut zmdnbrzwtxp Cvqsaavdv tfcpy dsfnzwlocla edclne qplcv jva zaksraad bcc xcmrqkyde kypeebabab accmda Wbcwede pwqllbrelgs afascde kuafgncby sr wbqca mpeumvn jkje Oji gclkjlwgh Afunabbdx bfqq CRH puadmlnfbxh scramdvsmw ewyzbrim st YCA
0 Commentaire