Zone euro : La Banque de France revoit à la baisse ses 'prévisions d'Attractivité, investissement et qualité de vie sont les critères mis en avant dans ce nouveau classement MasterCard des villes africaines.
La zone euro a vu sa croissance légèrement ralentir au troisième trimestre, avec un Produit intérieur brut (PIB) en hausse de 0,3% contre 0,4% au trimestre précédent, a confirmé mardi l'office européen des statistiques Eurostat.
La croissance a principalement été soutenue par la consommation des ménages, en hausse de 0,4% sur la période, indique Eurostat dans son communiqué.
La contribution de la formation brute de capital fixe a été neutre pour la croissance du PIB dans la zone euro et négative en ce qui concerne le commerce.
Dans le détail, les exportations ont crû de 0,2% (après 1,6%) dans la zone euro et les importations de 0,9% (comme le trimestre précédent).
Parmi les États membres pour lesquels les données sont disponibles, Malte ( 1,1%), la Lettonie ( 1,0%), la Slovaquie ( 0,9%) ont enregistré les plus forts taux de croissance par rapport au trimestre précédent, suivis de l'Espagne ( 0,8%).
La croissance a été confirmée à 0,3% au troisième trimestre en zone euro.
France : Selon le baromètre trimestriel du spécialiste du travail temporaire, 89% des entreprises n’anticipent pas d’augmentation de leurs effectifs.
Si le gouvernement a fait un geste pour les particuliers employeurs, ce secteur souffre depuis plusieurs années d'une augmentation des charges.
Les faillites d'entreprises devraient augmenter de 4,5% à 6130 sociétés, alors que les inscriptions au registre du commerce sont attendues en baisse de 1,9% en 2015, selon une étude de Creditreform publiée mardi.
Les procédures d'introduction en bourse devraient connaître l'an prochain un regain d'activité, anticipe Credit Suisse.
Chine : Les importations ont reculé, témoignant de l'essoufflement persistant de la deuxième économie mondiale.
Royaume Uni : La production industrielle au Royaume-Uni a modestement progressé de 0,1% en octobre par rapport à septembre, a annoncé mardi l'Office des statistiques nationales (ONS), mais sa composante manufacturière s'est contractée.
La production industrielle a été soutenue par une augmentation de l'activité dans le secteur de la fourniture et du traitement des eaux et des ordures, ainsi que par la hausse de l'extraction pétrolière et gazière en mer du Nord.
Sur un an, elle a grimpé de 1,7%.
Mais la composante manufacturière de la production industrielle a continué de se porter de façon très mitigée.
En octobre sur un mois, elle a reculé de 0,4%, a précisé l'ONS, soit davantage que le repli de 0,2% envisagé par les économistes, d'après un consensus établi par l'agence Bloomberg News.
Japon : Tokyo a revu ses statistiques : son PIB a finalement progressé de 0,3% au troisième trimestre, et non baissé de 0,2% comme initialement calculé.
Canada : Même sans port pétrolier, le Québec aura sa part des retombées économiques du projet Énergie-Est, qui prendront la forme 'd'emplois de qualité'.
Allemagne : Le ton est brutalement monté mardi entre le gouvernement grec et le ministre des Finances allemand, Wolfgang Schäuble, après que ce dernier a défendu la participation du FMI au sauvetage financier de la Grèce, jugée la veille 'non nécessaire' par le premier ministre grec Alexis Tsipras.
Russie : Les ventes automobiles ont encore accentué leur chute en novembre en Russie, frappées par la crise économique, avec une baisse de 42,7% sur un an contre 38,5% en octobre, selon des statistiques publiées mardi par les constructeurs.
Les ventes de véhicules légers neufs se sont élevées le mois dernier à 131'572 unités, a précisé dans un communiqué l'Association of European Businesses (AEB) qui regroupe les industriels.
Sur les onze premiers mois de l'année, le marché est en baisse de 34,5% et l'AEB a prévenu s'attendre encore à de mauvais résultats en décembre.
'Il y a un, le rouble plongeait et les consommateurs se pressaient chez les concessionnaires pour utiliser leur argent avant que les prix des voitures n'augmentent pour s'adapter au taux de change', a rappelé Joerg Schreiber, président du comité automobile de l'AEB, cité dans un communiqué.
'Rien de cela n'est arrivé cette année, ce qui explique la détérioration de tendance mesurée en glissement annuel', a-t-il expliqué.
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