Macro economie : brésil, le chômage est monté à 6,8% en 2015.

Zone euro : La BCBE a enregistré un bénéfice en hausse de 0,7% en 2015.L’assurance-vie a vu son chiffre d’affaires progresser de 4,9?% l’an dernier.

Les assurés prennent davantage de risques dans leurs placements.

Ils ont aussi tendance à changer davantage d’assureur auto ou habitation.

France : En 2015, 525100 entreprises ont été créées en France, soit 5% de moins qu'en 2014.

Cette réduction résulte du net repli des immatriculations de micro-entrepreneurs (-21% par rapport à 2014).

En revanche, les autres créations d'entreprises augmentent fortement ( 13%), particulièrement celles des autres entreprises individuelles ( 28%) et, dans une moindre mesure, celles des sociétés ( 4%).

En novembre 2015, le chiffre d'affaires des entreprises de l'industrie manufacturière rebondit ( 1,3% après '1,0% en octobre).

Il se redresse également à l'exportation ( 1,6% après '0,9%).

Sur l'ensemble de l'industrie, le chiffre d'affaires rebondit également mais de manière un peu moins marquée ( 1,0% après '1,0%) du fait de la baisse dans les industries extractives, énergies, eau ('0,7% après '0,9%).

En décembre 2015, les prix agricoles à la production reculent de nouveau par rapport au mois précédent.

Sur un an, ils baissent également.

Espagne : L'embellie sur le front de l'emploi se confirme en Espagne.

En 2015, le chômage atteint son plus bas niveau en 4 ans.

L'embellie sur le front de l'emploi s'est confirmée en Espagne en 2015, avec une baisse record du nombre de demandeurs d'emploi même si le taux de chômage reste très élevé, à 20,90%.

Canada : Les PME du Québec vont maintenir leurs investissements cette année au même plan que l’an dernier, alors que la croissance économique devrait s’accélérer, souligne une étude de la Banque de développement du Canada.

Au pays, un comptable professionnel agréé sur deux (50 %) détenant un poste de haut niveau en entreprise se dit pessimiste quant à la performance de l’économie canadienne au cours des 12 prochains mois.

Allemagne : Les prix à la consommation en Allemagne ont augmenté en janvier de 0,5% sur un an, marquant une accélération de l'inflation par rapport à décembre, selon un chiffre provisoire publié jeudi par l'Office fédéral allemand des statistiques.

Après 0,3% en décembre, ce niveau d'inflation à 0,5% en janvier est un peu plus dynamique que celui de 0,4% attendu en moyenne par les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset.

En revanche sur un mois, c'est-à-dire en comparaison avec décembre, les prix à la consommation ont reculé de 0,8% en janvier.

Cet indicateur reste très suivi : l'Allemagne, première économie européenne, pèse lourd dans l'inflation d'une zone euro dont les prix végètent depuis des mois, au grand désespoir de la banque centrale européenne (BCE).

La baisse des prix de l'énergie (5,8% sur un an) demeure le principal frein à l'inflation allemande en janvier même si le rythme de cette baisse se réduit progressivement depuis plusieurs mois.

La hausse des prix à la consommation en Allemagne a accéléré en janvier avec une inflation de 0,5% sur un an, un chiffre provisoire susceptible de nourrir les antagonismes au sein de la banque centrale européenne (BCE), selon les analystes.

Après 0,3% en décembre, ce niveau d'inflation à 0,5% en janvier, publié jeudi par l'Office fédéral allemand des statistiques, est un peu plus dynamique que celui de 0,4% attendu par les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset.

En revanche sur un mois, c'est-à-dire en comparaison avec décembre, les prix à la consommation ont reculé de 0,8% en janvier.

Cet indicateur reste très suivi: l'Allemagne, première économie européenne, pèse lourd dans l'inflation d'une zone euro dont les prix végètent depuis des mois, au grand désespoir de la banque centrale européenne (BCE).

La baisse des prix de l'énergie (5,8% sur un an) demeure le principal frein à l'inflation allemande en janvier, même si le rythme de cette baisse se réduit progressivement depuis plusieurs mois.

Royaume Uni : La Grande-Bretagne a annoncé jeudi qu'elle allait débloquer 250 millions de livres (325 millions d'euros) pour soutenir l'industrie pétrolière dans le nord-est de l'Écosse, qui pâtit de la chute des cours du brut.

Le Premier ministre s'est rendu dans la journée à Aberdeen pour évoquer la situation avec les dirigeants du secteur pétrolier.

Les cours du brut ont chuté de plus de 30% en 2015 et glissé encore de 20% en 2016, sur fond de surabondance de l'offre et de ralentissement de la demande.

A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, pour livraison en mars, s'échange actuellement à 33,10 dollars, loin des plus de 100 dollars atteints en 2014.

'Le pétrole et le gaz est un secteur crucial non seulement pour le nord-est de l'Écosse mais pour l'ensemble du Royaume-Uni', a déclaré le secrétaire d'État à l'Écosse, David Mundell.

Etats-Unis : Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis ont baissé plus que prévu, selon les données publiées par le département du Travail jeudi.

Brésil : Le taux de chômage a atteint 6,8% de la population active en 2015 au Brésil, plongé dans la crise économique, deux points de pourcentage de plus qu'en 2014, a indiqué jeudi l'Institut brésilien de géographie et statistiques (IBGE).

Un total de 1,7 million de Brésiliens se sont retrouvés sans emploi en 2015, soit 42,5% de plus qu'en 2014 (1,2 million), a précisé cet institut public.

Toutefois, le taux de chômage a chuté à 6,9% en décembre 2015, contre 7,5% le mois précédent.

Il s'agit du taux le plus élevé pour un mois de décembre sur les huit dernières années et il dépasse de 2,6 points le taux de décembre 2014.

Après dix années consécutives de hausse des revenus, le salaire moyen mensuel de la population active a été de 2.