
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Assurance habitation et auto : quand s'applique la hausse de la surprime « Cat Nat » ? .Pour les contrats datant d'avant le 1ᵉʳ janvier 2025, la hausse de la surprime finançant le régime d'indemnisation des catastrophes naturelles s'appliquera au cours de l'année, explique Olivier Moustacakis, cofondateur d'Assurland.com.
- Londres sous le diktat de la reconnaissance faciale .Sous le couvert de réduire le vol dans les magasins, cette technologie qui fiche les individus dits « indésirables » gagne commerces ou boîtes de nuit de la capitale britannique. Une pratique décriée.
- Mark Zuckerberg veut plus d'« énergie masculine » et moins de politique de diversité .Après avoir limité la modération des contenus, le fondateur de Meta a expliqué, dans le podcast de Joe Rogan, partisan assumé de Donald Trump, pourquoi il mettait fin à sa politique interne d'inclusion.
- A Alès, les éleveurs gardois dans l'incertitude après la fermeture de l'abattoir .L'établissement, datant des années soixante, a vu ses volumes chuter ces dernières années.
- Electricité : l'américain Constellation Energy rachète son compatriote Calpine pour près de 27 milliards de dollars .La hausse attendue de la demande, notamment avec l'électrification des véhicules et le développement énergivore de l'intelligence artificielle, a motivé cet accord entre les deux producteurs américains.
- Automobile : au salon de Bruxelles, grandes manœuvres et ristournes sur l'électrique .L'édition 2025 du Salon de l'automobile, qui se tient du 11 au 19 janvier, est aux couleurs des offres promotionnelles. Les normes européennes de 2025 imposent en effet aux constructeurs de porter à 20-25 % la part des modèles tout électriques dans leurs ventes, sous peine de fortes pénalités financières.
- Jézabel Couppey-Soubeyran : « Sur le climat, la déraison du cercle de la raison » .Malgré l'urgence, attestée par les rapports indiscutables du GIEC, les dirigeants politiques ou d'entreprise semblent aveugles face au dérèglement climatique. Ils continuent à maintenir un cadre économique qui menace la planète, s'alarme l'économiste dans sa chronique.
- Huîtres : « Le grand plongeon de la consommation » .Après une année 2023 marquée par l'épidémie de norovirus qui avait fait chuter la consommation du coquillage, les ventes sont reparties à la hausse pour les fêtes de 2024, nous explique Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
- L'architecte Meriem Chabani, le Sud sans frontières .« Promesses de 2025 » (6/12). Douze artistes ou personnalités de la culture à suivre cette année. Aujourd'hui, la Franco-Algérienne de 35 ans, engagée dans les territoires du Sud et des marges, qui met en œuvre la nouvelle mosquée du 11ᵉ arrondissement de Paris.
- A Paris, l'office du tourisme ferme son dernier point d'accueil .Le bureau, implanté quai Jacques-Chirac, dans le 15ᵉ arrondissement, cessera, dimanche 12 janvier, d'accueillir les visiteurs. Une fermeture qui pose la question de l'utilité de ces espaces, alors qu'ailleurs, en France, certains tentent de se réinventer.
- Le combat du maire d'Ouessant contre « le moule » imposé par l'Etat .Pas de salle de traite pour les vaches, pas d'éolienne, pas de déchets verts… La municipalité insulaire dénonce les normes qui entravent son action, tout en reconnaissant que cela a préservé l'île.
- Mutuelles santé : pourquoi les prix des cotisations augmentent encore en 2025 .Vieillissement de la population, prix des consultations médicales, transferts de charges de la Sécurité sociale vers les mutuelles… L'augmentation des tarifs des complémentaires santé, d'environ 6 % cette année, est multifactorielle.
- Dette : nouveau coup de chaud sur les taux .Aux Etats-Unis comme en Europe, les rendements des emprunts d'Etat sont fortement remontés. La prise de fonctions de Donald Trump, le 20 janvier prochain, et les doutes sur l'inflation s'ajoutent aux incertitudes politiques et budgétaires en France, en Allemagne et au Royaume-Uni.
- Quelles innovations retenir du CES de Las Vegas ? .Lunettes, aspirateurs et petits chats qui soufflent : l'édition 2025, assez fade, du grand raout mondial de l'électronique grand public a été placée sous le signe de l'intelligence artificielle.
- Le risque d'une semaine « de » quatre jours qui devient une semaine « en » quatre jours .Cette organisation, loin de s'accompagner de la promesse initiale d'une réduction du temps de travail, s'est très souvent traduite par une intensification des journées des salariés.
- Pour les entreprises françaises, un début d'année 2025 dans le brouillard .Entre la demande en berne et les incertitudes politiques, les chefs d'entreprise suspendent leurs projets d'investissements et leurs embauches. Le taux de chômage devrait donc augmenter.
- La dette publique est-elle vraiment alarmante ? L'avis contrasté de deux experts, François Ecalle et François Geerolf .Le récent dérapage des comptes publics a remis la dette publique au cœur du débat. A-t-on raison de craindre une perte de contrôle ? L'ex-magistrat à la Cour des comptes François Ecalle et l'économiste François Geerolf confrontent leurs vues sur le sujet.
- Industrie automobile : « Les autorités chinoises laissent le darwinisme faire son office » .Avec près de 23 millions de véhicules immatriculés en 2024, le marché automobile en Chine est désormais une fois et demie plus gros que celui des Etats-Unis. Mais c'est un secteur en surproduction, massivement soutenu par les subventions. De nombreux constructeurs sont donc éliminés du marché chaque année, constate Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
- Eric Trappier, le « M. Rafale » de Dassault, prend les commandes du groupe .Le PDG de la branche aéronautique depuis 2013, par ailleurs président de la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie, pilotera désormais l'ensemble du groupe industriel français.
- Pakistan : la compagnie aérienne nationale reprend ses vols vers l'Europe .Pakistan International Airlines avait été bannie des cieux européens et britanniques en 2020. Un crash à Karachi avait poussé les autorités pakistanaises à reconnaître qu'environ 150 pilotes possédaient des licences suspectes.
.Source : Le monde
LES ECHOS
.
Source : Les echos
0 Commentaire