L'indice nikkei de la bourse de tokyo a terminé sur une note optimiste vendredi, porté par la progression des futures sur les marchés américains et par la décision de la ville de tokyo de reculer d'un cran son niveau d'alerte maximale au coronavirus à cause du recul des nouvelles contaminations.

L'indice nikkei a acquis 0,74% à 23406,49 points et le topix , plus large, a pris 0,68% à 1635,88 points.
Les bourses chinoises sont pour leur part orientées en hausse après l'annonce d'un accord entre la Chine et l'Inde sur un désengaement de leurs troupes à leur frontière commune.
Le CSI 300 des grandes capitalisations de Chine continentale gagne 0,85%.
Les marchés européens devraient ouvrir en léger repli vendredi suite au nouveau recul des grandes valeurs technologiques américaines la veille à la bourse de new york.
Les futures signalent pour l'ouverture un repli de 0,21% pour l'eurostoxx 50 50e , une baisse de 0,14% pour le dax à francfort et de 0,27% pour le ftse à londres.
A la bourse de paris, de premières indications disponibles donnent d'autre part l'indice vedette en repli de 0,31% en ouverture.
Sur le front des valeurs, alstom va faire son entrée au sein du Cac 40 en remplacement d’Accor à compter du 21 septembre, a annoncé euronext.
sodexo a prévenu qu’il pourrait enregistrer des dépréciations d’actifs d'environ 250 millions d’euros dans ses comptes à la fin du second semestre de l’exercice 2019-2020, ainsi que des charges de restructuration de 160 millions d’euros, toutes liées à l’impact de la crise du coronavirus.
Hier, les indices américains ont terminé la séance en baisse.
Le Dow Jones a perdu 1,5%, le S§P 500 a chuté de 1,8%, le nasdaq a plongé de 2%.
Suite au rebond de mercredi, les géants américains de la "tech", poids lourds des marchés d'actions mondiaux, sont encore une fois repartis à la baisse jeudi, les actions d'Amazon, de Microsoft et d'Apple ont clôturé chacune plus de 2,5 % à la baisse, tandis que Tesla a effacé la plupart de ses avancées initiales et a terminé 1,4 % à la hausse, un mouvement qui alimente la nervosité des opérateurs sur fond de craintes sur les espoirs économiques.
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