France : La bourse de Paris creusait ses pertes mercredi à la mi-journée (-2,08%), principalement plombée par la baisse des prix du pétrole, dont les variations continuent de donner le ton sur les marchés.

La bourse de Paris était toujours mal orientée mercredi après-midi (-2,23%), après les premiers pas en baisse de wall street, souffrant notamment d'un recul des prix du pétrole en attendant les stocks américains de brut.
Liste des valeurs suivies mercredi à la bourse de Paris, qui a fini en forte baisse une séance marquée par le recul des valeurs liées aux matières premières et les doutes persistants entourant la croissance mondiale.
L'indice CAC 40 a perdu 1,96% à 4,155,34 points.
La bourse de Paris a terminé en net recul mercredi (-1,96%), plombée notamment par l'érosion des cours du pétrole, malgré la publication de résultats d'entreprises jugés positifs.
L'indice CAC 40 a perdu 83,08 points à 4,155,34 points, dans un volume d'échanges nourri de 4,1 milliards d'euros.
La veille, il avait lâché 1,40%, déjà affecté par le pétrole.
Parmi les autres marchés européens, Francfort a cédé 2,64% et Londres 1,60%.
Zone euro : La concurrence grandissante, en particulier de marchés opaques, pousse les bourses historiques à s'allier, comme l'illustre le rapprochement engagé entre Francfort et Londres, posant au passage la question de l'avenir d'euronext et de la place parisienne.
Les bourses européennes ont terminé en forte baisse mercredi, prolongeant leur repli de mardi dans des marchés dominés par l'inquiétude sur le ralentissement de l'économie mondiale et où les valeurs cycliques et financières ont été encore une fois les plus touchées.
Les bourses européennes ont fortement reculé mercredi, les investisseurs restant rivés sur la baisse des prix du pétrole qui dictent l'orientation des marchés depuis plusieurs semaines.
Suisse : La bourse suisse sombrait nettement mercredi à la mi-journée, après avoir déjà ouvert sur une note pessimiste.
Des courtiers attribuent les pertes importantes au nouvel accès de faiblesse des cours du brut, reflet selon eux d'une certaine morosité conjoncturelle.
Reflet dans tous les cas du niveau de fébrilité des intervenants, l'indicateur de la volatilité ou 'baromètre de la peur' VSMI s'est enrobé de 5%.
Par ricochet, les taux fixes prenaient l'ascenseur, tout comme le franc face aux autres monnaies.
Les espoirs de détente sur le marché des hydrocarbures ont été balayés ces derniers jours aussi bien par l'Arabie saoudite, qui réclame un gel de production mais exclut toute réduction, que par l'Iran, qui a qualifié le projet russo-saoudien de 'plaisanterie' et n'envisage pas de renoncer à gagner des parts de marché.
A côté des prix des hydrocarbures, les facteurs d'inquiétudes ne manquent pas, rappelle Mirabaud Securities.
La bourse suisse a encore nettement reculé mercredi, toujours dépendante de l'évolution des prix du pétrole, en baisse eux aussi.
Mercredi, le SMI a égaré 1,5%.
Dans le sillage des prix du brut en baisse, Transocean a plongé de 8,7%.
Etats-Unis : Toujours sous la coupe du marché pétrolier, wall street baissait mercredi à mi-séance sans trouver de soutien dans des chiffres médiocres aux États-Unis: le Dow Jones perdait 0,78% et le nasdaq 0,69%.
Toujours sous la coupe du marché pétrolier, wall street baissait mercredi à mi-séance sans trouver de soutien dans des chiffres médiocres aux Etats-Unis: le Dow Jones perdait 0,78% et le nasdaq 0,69%.
Royaume Uni : La bourse de Londres a terminé mercredi en nette baisse de 1,60%, à cause d'une rechute des valeurs minières et pétrolières et d'une série d'inquiétudes pour l'économie mondiale.
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