CHF : la banque nationale suisse a révisé sa prévision de croissance du PIB helvétique à environ 1% en 2017, contre 1,5% en juin.

la banque nationale suisse (BNS) a maintenu jeudi sa politique monétaire inchangée, comme l'attendaient la majorité des observateurs.
Jeudi midi sur le marché des changes, la monnaie unique européenne faisait preuve d'une remarquable stabilité face à la plupart de ses contreparties.
EUR : L'euro montait un peu face au dollar jeudi, dans un marché des changes dans l'ensemble sans grand élan et prudent avant les chiffres de l'inflation aux États-Unis et une décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BoE).
Vers 09H00 GMT (11H00 HEC), l'euro valait 1,1906 dollar, contre 1,1885 dollar mercredi vers 21H00 GMT.
Le devise européenne gagnait également un peu de terrain face à la monnaie nippone, à 131,43 yens pour un euro contre 131,28 yens la veille.
Le billet vert baissait un peu face à la devise japonaise, à 110,39 yens pour un dollar -après avoir atteint vers 01H40 GMT 110,73 yens, son niveau le plus fort en un mois - contre 110,47 yens mercredi soir.
Après avoir été porté la veille par quelques achats à bon compte, le billet vert effaçait jeudi une partie de ses gains dans un marché attentiste avant les données sur les prix à la consommation aux États-Unis en août.
Le sellier a vu son résultat opérationnel courant grimper de 13% à 931 millions d'euros, tandis que sa rentabilité opérationnelle a atteint un record à 34,3%, grâce à un impact positif d'environ 1,0 point venant de ses couvertures de change.
Il a toutefois souligné que sa performance semestrielle, portée en partie par ces effets de couvertures, ne pouvait être extrapolée sur l'ensemble de l'année.
Interrogé sur l'impact du renchérissement de l'euro vis-à-vis du dollar, Axel Dumas, gérant du groupe, a précisé lors d'une conférence téléphonique avec la presse que cette hausse serait sans effet sur les résultats de 2017, compte tenu des couvertures en cours, mais qu'elle affecterait la rentabilité en 2018.
Tiré par sa division phare, la maroquinerie, le groupe avait déjà fait état, le 21 juillet, d'une croissance de ses ventes de 9,7% sur les six premiers mois de l'année à taux de changes constants.
Interrogé ensuite par les analystes, Axel Dumas a indiqué que les tendances du marché du luxe demeuraient 'globalement inchangées depuis le début de 2017', mais que des événements comme l'attentat de Barcelone et les tempêtes qui ont sévi au Texas, en Floride et à Saint-Barthélémy pourraient avoir un impact au troisième trimestre.
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