Capitulation sans condition, pas de négociation

Donald Trump : « Notre patience avec l'Iran est à bout. Bonne chance à Khamenei ».

Les déclarations de ces dernières heures sont très claires. Alors que le « Guide Suprême » titre qui ne sent pas particulièrement la liberté et la démocratie a fait un discours menaçant Israël et les Etats-Unis. La réponse de Trump a été cinglante. « Bonne chance » parce qu'au moment où j'écris ces lignes le bunker du « Guide Suprême » aurait été bombardé et tout laisse à croire que Trump a décidé de laisser Israël liquider le leader iranien.

Il faut dire, que, du côté russe une mise en garde a été adressée aux Etats-Unis. Ne rentrez pas en guerre au côté d'Israel…

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Iran-Israël: la Russie met en garde les États-Unis contre « toute assistance militaire directe à Israël »https://t.co/Hc0rd7WLuQ pic.twitter.com/mSIIVKaQLN

— BFMTV (@BFMTV) June 18, 2025

La solution la plus élégante pour les Etats-Unis est donc d'aider l'Etat hébreux en « sous-mains » un peu comme avec l'Ukraine. La grosse bombe peut-être américaine, le gros bombardier loué à Tsahal pour quelques jours, le pilote être israélien… ainsi que le doigt appuyant sur les boutons et les apparences seront sauves !

Trump entretient donc son ambiguïté stratégique pour reprendre un concept cher à notre président. Interrogé sur les frappes visant les sites nucléaires iraniens, Donald Trump a déclaré : « Je peux y avoir contribué… ou pas ».

Enfin, et histoire de vous remonter le moral Donald Trump a rajouté : « Cette semaine, un événement majeur va se produire… et des choses très graves vont arriver ».

La chose la plus grave qui puisse arriver est une erreur du renseignement occidental comme par exemple le fait que l'Iran a déjà la bombe atomique, pas beaucoup, juste 3 ou 4, que l'Iran a déjà le vecteur supersonique avec ses missiles, qu'Israël n'ait pas réussi à les détruire dans sa phase d'attaque préventive et que par une nuit funeste du mois de juin 2025, l'Iran vitrifie une ou deux villes israéliennes. Le régime des mollahs, au bord de l'effondrement, choisissant comme dernier acte avant de périr d'entraîner le monde entier dans sa chute.

Bon je crois que je vais aller acheter quelques boîtes de raviolis supplémentaires, on ne sait jamais. Je venais de terminer le stock du Covid… c'est reparti pour un tour !

Prions mes amis, prions nos Dieux respectifs pour que la raison l'emporte.

Charles SANNAT