
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- L'argot de bureau : le « deep work », silence, on bosse ! .Notion énigmatique appréciée par les amateurs de développement personnel au travail, le « deep work » désigne un état de concentration et de productivité extrême.
- Le fils, la belle-mère et les frais d'obsèques .Un homme demande que la compagne de son défunt père organise les funérailles. Il lui reproche ensuite ses dépenses et refuse de les lui rembourser.
- Bruno Alomar : « La question de la protection des données constitue une saga au long cours » .L'économiste se félicite, dans une tribune au « Monde », de la conclusion prochaine d'un accord entre les Etats-Unis et l'Europe en matière de transfert de données.
- Diminuer sa participation dans Nissan sans perte, un casse-tête pour renault .Pour rééquilibrer l'Alliance sans entraîner de moins-value, renault envisagerait de mettre une partie de sa participation dans le constructeur japonais dans une fiducie qui lui remonterait les dividendes mais n'aurait pas de droit de vote.
- Twitter : seize ans de gouvernance chaotique .Au gré des complots et des révolutions, le réseau social a connu cinq changements de PDG. Une exception dans la Silicon Valley.
- Contre le barème Macron, l'« arrêt de résistance » de la cour d'appel de Douai .Une décision rendue le 21 octobre a écarté la règle introduite en septembre 2017 sur le plafonnement des indemnités en cas de licenciement injustifié, bien que celle-ci ait été validée par la Cour de cassation et par d'autres juridictions suprêmes.
- « Les sanctions économiques contre la Russie marchent, mais à long terme seulement » .Agathe Demarais, cheffe économiste de l'Economist Intelligence Unit, a eu à gérer l'application des sanctions contre la Russie en 2014.
- Contre les sanctions, les Russes se glissent dans les interstices du commerce mondial de la Turquie à l'Iran .Les entreprises russes empruntent d'autres routes commerciales pour contourner les sanctions imposées par les Occidentaux et trouvent de nouveaux moyens de se financer.
- Comment l'économie russe résiste au choc des sanctions .A l'image de l'entreprise familiale Liston, installée au sud de Moscou, des sociétés russes ont pu trouver d'autres moyens de se procurer des marchandises et s'appuient sur leurs stocks pour minorer l'impact des sanctions occidentales liées à l'agression russe en Ukraine.
- « Les opérations de rachat d'actions propres incarnent la financiarisation de l'économie » .Les deux professeurs en management Roland Pérez et Elisabeth Walliser proposent, dans une tribune au « Monde », une initiative positive en faveur du dialogue social dans les entreprises cotées : associer les partenaires sociaux aux rachats d'actions.
- Bourse : combien de PEA peut-on détenir ? .Pour ses investissements boursiers, on ne peut détenir qu'un seul plan d'épargne en actions (PEA), mais ce dispositif est cumulable avec la version du PEA dédiée aux PME, explique Vincent Cudkowicz, directeur général de Bienprévoir.fr et de Primaliance.
- Le futur « conseil national du commerce » piloté par Thierry Mandon .Ce nouvel outil doté d'une enveloppe de 24 millions d'euros en 2023 sera chargé de repenser la place du commerce dans la cité et d'en accompagner les changements.
- Pénurie de carburant : les transports d'hydrocarbures pourront circuler à la Toussaint .Cette dérogation devrait permettre d'atténuer les tensions qui persistent sur l'approvisionnement de certaines régions, dont l'Ile-de-France.
- Daniela Cavallo, syndicaliste en chef de l'empire Volkswagen .Femme dans l'univers très masculin de l'automobile, d'origine étrangère, elle est aussi la dirigeante syndicale la plus puissante d'Allemagne depuis l'été 2021.
- Elon Musk, Bill Gates... « Il faut imaginer des moyens de contrôler la propension de milliardaires à se substituer aux Etats » .Grâce à leur puissance financière, Elon Musk et Bill Gates multiplient les initiatives sur les plans géopolitique, sanitaire, climatique, affaiblissant par là même les démocraties et les organisations internationales, explique dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».
- Matières premières : « Prix du lait et argent du beurre » .En France, les éleveurs dénoncent le manque de réactivité dans la prise en compte des évolutions de cours et de coûts de revient, alors qu'ils subissent la hausse des tarifs des engrais, des aliments comme de l'énergie, observe, dans sa chronique, Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
- Rénovation énergétique : la mise en garde de la Cour des comptes .Dans un rapport publié vendredi, l'institution note l'incohérence et le risque d'inefficacité des mesures destinées à améliorer l'empreinte environnementale des bâtiments.
- « L'hégémonie du dollar est à la fois cause et symptôme de la perte d'attractivité du continent européen » .L'expert financier Pierre-Antoine Dusoulier explique, dans une tribune au « Monde », pourquoi la domination du billet vert constitue un atout dangereux, car certaines entreprises américaines sont aussi pénalisées par cette situation.
- Immobilier : à Romainville, la ligne 11 du métro dope toujours les prix .A un an de l'ouverture du prolongement du métro, la commune située en Seine-Saint-Denis, fait toujours le plein d'acquéreurs en quête d'une maison proche de Paris. Les investisseurs aussi sont nombreux à s'intéresser à la commune.
- Pourquoi les prix du gaz baissent sur le marché, mais pas pour les consommateurs .S'ils sont les deux faces d'un même problème, les cours du gaz sur les marchés de gros et les tarifs du gaz pour les clients finaux fonctionnent de façon différente.
.Source : Le monde
LES ECHOS
.
Source : Les echos
0 Commentaire