
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Paris 2024 : le village olympique, un laboratoire XXL de la construction bas carbone .Inauguré jeudi 29 février, le site, qui a été construit sur les communes de Saint-Denis, de Saint-Ouen et de L'Ile-Saint-Denis, a été le théâtre de plusieurs innovations du BTP français.
- Le gouvernement octroie un soutien limité à l'agriculture biologique .Le ministre de l'agriculture, Marc Fesneau, a annoncé que l'aide d'urgence à la filière sans engrais ni pesticides de synthèse serait augmentée de 40 millions d'euros et portée à 90 millions.
- Les appartements du village des athlètes de Paris 2024 peinent à se vendre à 7 000 euros le mètre carré .En raison de prix élevés pour le secteur et de la hausse des taux bancaires, les acheteurs ne se sont pas bousculés pour acquérir les premiers biens mis en vente à l'été 2023.
- Alerte aux faux timbres ! .« Dewoitine », « Marianne » d'usage courant, carnet « Le Petit Prince »… Des contrefaçons de timbres d'usage courant récents envahissent le marché. Négociants, collectionneurs et entreprise postale sont mobilisés.
- « L'emploi et la transition énergétique » : le travail au défi de l'urgence climatique .La transition énergétique aura des conséquences plurielles sur l'emploi impliquant une évolution quantitative, mais aussi des réallocations entre secteurs, entre activités, entre régions, souligne l'économiste Mireille Chiroleu-Assouline dans son ouvrage.
- « Il est urgent de replacer le commerce international agricole à sa juste place, ni plus ni moins » .L'Union européenne est arrivée « sans proposition majeure » à la conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du commerce, qui vient de s'ouvrir à Abou Dhabi, regrette, dans une tribune au « Monde », l'agronome Gérard Choplin, alors que les accords commerciaux signés en 1994 ont conduit à transformer le marché agricole en « cour de jeu des grandes entreprises de négoce international ».
- En pleine crise de l'immobilier, nexity annonce un plan social .L'annonce de ce plan social intervient après une dégradation des résultats du groupe en 2023, du fait de la hausse des coûts de construction et des difficultés d'accès au crédit pour les acquéreurs. Le groupe renonce également à verser un dividende à ses actionnaires.
- GiFi, en difficulté, appelle ses banques au secours .Déstabilisée par une bascule informatique chaotique, l'enseigne de bazar, qui emploie 6 800 personnes, négocie un soutien de ses créanciers sous l'égide de Bercy.
- Les TGV pleins font le profit de la SNCF .Avec un record de passagers, l'entreprise est bénéficiaire pour la troisième année d'affilée. Elle investit massivement et ne compte toujours pas baisser ses prix.
- Télévision : l'Arcom lance l'appel à candidatures pour la réattribution de quinze fréquences, dont celles de C8 et CNews .Les autorisations de diffusion des deux chaînes polémiques de la TNT seront au cœur de l'attention suscitée par l'opération que mène l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
- Bronca à France Inter autour d'un nouveau projet de fusion partielle avec les rédactions de Franceinfo et France Culture .Les journalistes du pôle sciences, santé et environnement des trois chaînes pourraient être regroupés, a annoncé la direction de Radio France, lors d'un CSE, mardi 27 février.
- Prix planchers : « Payer dignement le travail est tout autant l'affirmation d'un droit humain qu'une donnée économique et géopolitique » .En sanctuarisant un revenu minimal pour le producteur, non par obligation légale mais dans le cadre d'un cahier des charges citoyen, les mécanismes du commerce équitable, qui ont fait leurs preuves, peuvent inspirer de nouvelles régulations, affirme, dans une tribune au « Monde », Blaise Desbordes, directeur de l'ONG Max Havelaar.
- Dans le Gard, des sentinelles pour prévenir le risque suicidaire chez les paysans : « L'agriculture est un monde de taiseux, personne n'ose dire ses galères » .L'Etat avait acté la mise en place d'un réseau de 5 000 sentinelles en France pour mieux repérer les professionnels en grande détresse, lors du troisième comité national de pilotage Prévention du mal-être en agriculture, fin 2022.
- Les constructeurs de smartphones se raccrochent à l'IA pour rebondir .Les principales marques, réunies au Mobile World Congress de Barcelone afin de présenter les nouvelles fonctionnalités de leurs appareils permises par l'intelligence artificielle, se servent de cette technologie pour convaincre les acheteurs de renouveler leur équipement, alors que le marché traverse une période difficile.
- Lactalis dans le viseur du gouvernement italien .Rome a infligé une amende au groupe laitier français pour pratiques déloyales. Le ministre de l'agriculture envisage également l'ouverture d'une centaine de procédures administratives.
- La chasse aux capitaux, éternelle angoisse de la biotech .Après avoir enregistré une hausse des financements en 2022, la filière française de la healthtech accuse le contrecoup du revers économique mondial.
- Atos : fin des discussions avec Daniel Kretinsky .Le groupe d'informatique, dont la situation financière est toujours aussi tendue, n'a pas réussi à s'entendre avec l'homme d'affaires pour lui vendre sa division Tech Foundations. La publication des résultats annuels, prévue le 29 février, a été reportée.
- Patrice Vergriete, ministre des transports : « La mobilité doit faire l'objet d'une convention citoyenne » .Dans un entretien au « Monde », le successeur de Clément Beaune plaide pour atténuer la dépendance des Français à la voiture pour se rendre à leur travail.
- Voiture électrique : « Le projet d'Apple subira le même sort que celui des Titans, enfermés dans l'enfer du Tartare » .Selon la presse anglo-saxonne, la firme à la pomme a annoncé mettre fin à son projet Titan, qui consiste à produire un véhicule électrique. Cet échec illustre toute la difficulté pour une société, quand bien même elle est prête à investir massivement, de sortir de son domaine de spécialité, analyse Philippe Escande, journaliste économique au « Monde ».
- Le métro parisien ne s'arrêtera plus pour des malaises de voyageurs, qui seront désormais pris en charge sur le quai .Le SAMU et les sapeurs-pompiers Paris ont approuvé le changement de doctrine, qui ne concerne pas les cas où il est risqué de déplacer la personne concernée. Certains conducteurs se disent opposés à toute obligation a priori.
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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