
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- « La Qualité de vie et des conditions de travail, l'affaire de tous ! », un ouvrage qui prône la culture de la parole face aux risques psychosociaux .L'ouvrage collectif dirigé par Jean-Edouard Grésy et Philippe Emont appelle à « une conflictualité saine » dans l'entreprise pour favoriser le bien-être des salariés, soulignant que « les entreprises les moins exposées aux risques psychosociaux sont celles où l'on débat le mieux sur la manière de réaliser les tâches ».
- Achat immobilier : comment saisir les occasions .Depuis plusieurs mois, le marché est favorable aux acheteurs, à condition qu'ils soient solvables, bien renseignés et pas trop gourmands.
- Dans les jardins familiaux du Nord, « on apprend à consommer différemment » .« Voyage dans une France plus chère ». A Roubaix et aux alentours, ces espaces potagers, créateurs de lien social, permettent de faire de grandes économies sur les dépenses alimentaires, à l'heure où l'inflation continue de rogner le pouvoir d'achat.
- Smic et bas salaires : le piège inflationniste .La conférence sociale voulue par Emmanuel Macron mi-octobre devra régler le problème des petites rémunérations rattrapées par le salaire minimum et du coût exorbitant pour les finances publiques d'un système déboussolé par l'inflation.
- « Il est temps de reconnaître la médiation sociale comme un métier à part entière » .Plus de cinq cents élus et travailleurs sociaux, parmi lesquels la maire de Nantes, Johanna Rolland, et le président de France Médiation, Xavier Rochefort, appellent les parlementaires, dans une tribune au « Monde », à donner un statut professionnel aux douze mille médiateurs sociaux, véritable « clé de voûte de notre cohésion sociale ».
- « Le couple Chine-Afrique est à un point d'inflexion » .Les montants accordés par les prêteurs chinois au continent sont au plus bas depuis vingt ans. Alors que les pays africains sont confrontés à une pénurie généralisée de financements et à un endettement croissant, la relation avec Pékin est à un tournant, constate Marie de Vergès, journaliste au « Monde Afrique », dans sa chronique.
- vivendi veut vendre ses festivals et son activité de billetterie .Le groupe de Vincent Bolloré a confié à une banque un mandat de cession de ses deux filiales musicales. vivendi estime qu'elles n'atteindront jamais une taille critique en France et à l'international.
- Comment le budget 2024 veut « verdir » nos transports .Nouvelle taxe sur les autoroutes et les aéroports, malus renforcé sur les véhicules les plus lourds, rail et voiture électrique soutenus… Les grandes lignes du projet de loi de finances pour le volet mobilité dessinent une inflexion en faveur du climat.
- La Mairie de Paris s'enorgueillit du peu de commerces vides dans la capitale .Avec 28 commerces pour 1 000 habitants, la Ville Lumière connaît la plus forte densité commerciale de France.
- Le métro de Marseille fermera les soirs de semaine dès le 23 octobre et pour une durée probable de deux ans .La municipalité, qui ne gère pas le réseau de transports en commun, a dénoncé une décision « anachronique » de la Régie des transports métropolitains, à laquelle elle assure n'avoir pas été associée.
- Budget 2024 : une taxe sur les concessions autoroutières et les grands aéroports pour financer la transition écologique .Le gouvernement a dévoilé mercredi son projet de loi de finances pour l'année à venir, comprenant cet impôt ciblé « sur les infrastructures de transport de longue distance », qui doit rapporter 600 millions d'euros par an à l'Etat.
- Avec un épicier ambulant sur les routes de Bretagne : « Vous croyez qu'à Paris, les politiciens savent comment vivent les gens que je livre ? » .« Voyage dans une France plus chère ». L'épicerie Poupette circule à travers la campagne bretonne pour servir une clientèle isolée et vieillissante. Ces retraités du monde agricole, pour beaucoup, pâtissent en silence de l'inflation, tout comme l'entrepreneur de ce magasin itinérant, qui tente de contenir les prix de ses produits.
- « Causette » passe au 100 % numérique, abandonnant sa version papier .La direction du mensuel féministe fait le choix d'arrêter sa parution imprimée pour réduire des coûts devenus « intenables ». Elle veut y voir « une opportunité » pour s'adapter à l'évolution des usages et conquérir un public plus jeune.
- Les bas salaires rattrapent l'inflation, mais pas ceux des cadres .EN UN GRAPHIQUE - En deux ans d'inflation, le salaire moyen a fini par rattraper la hausse des prix. Dans le détail, ce n'est pas vrai pour tous les salaires.
- Accidents du travail : « Pour une politique zéro mort ! » .Alors qu'une grande campagne de sensibilisation est lancée par le gouvernement, un collectif de membres d'associations, de militants appelle celui-ci à aller plus loin. Et définit une série de mesures concrètes à apporter pour lutter contre cette « hécatombe invisible »
- Les classes populaires, une catégorie mouvante au cœur d'une bataille politique et idéologique .Souvent abstentionnistes et en partie attirées par l'extrême droite, les classes populaires sont au cœur d'une entreprise de reconquête politique et idéologique. Mais leur visage contemporain s'éloigne de l'imagerie des anciennes classes laborieuses ou ouvrières.
- Nickel en Nouvelle-Calédonie : le groupe Glencore annonce son retrait à la fin de février 2024 de l'usine de Koniambo .Projet phare du rééquilibrage entre les provinces calédoniennes Nord – où elle est installée – et Sud, le site de production n'a jamais été rentable et affiche une dette abyssale.
- Budget 2024 : les associations d'élus locaux dénoncent un « supplice du garrot » .L'Association des maires de France s'inquiète d'une perte de ressources pour les collectivités locales d'environ 2 milliards d'euros en raison de l'inflation, alors que le gouvernement a décidé d'augmenter leur dotation.
- « Le gouvernement n'est pas étranger à l'approfondissement de la crise immobilière » .Le ministre de l'économie veut revoir le calendrier d'interdiction de location des passoires thermiques. Selon lui, la hausse des taux rebat les cartes. Un nouveau casse-tête pour un budget déjà contraint par nombre d'injonctions contradictoires, constate Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
- Réforme du RSA : des élus socialistes accusent le gouvernement de « légiférer à l'aveugle » .Alors que l'examen du projet de loi « plein-emploi » a commencé, lundi 25 septembre, à l'Assemblée, le député socialiste Jérôme Guedj a obtenu des données sur la suspension du revenu de solidarité active (RSA), qui montrent, selon la gauche, que la sanction produit « de l'extrême pauvreté ».
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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