
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Redéfinir le statut du dirigeant .Dans sa chronique, le professeur en sciences de gestion Armand Hatchuel s'appuie sur la polémique autour de la rémunération du PDG de Stellantis pour questionner la définition juridique des missions d'un dirigeant.
- bourse : des outils pour se protéger des baisses des marchés .Certains instruments financiers cotés évoluent à l'inverse des marchés : quand ces derniers reculent, leurs cours s'envolent. Comment bien les utiliser pour protéger son portefeuille d'actions.
- Avec le rachat de Twitter, Elon Musk se pose en défenseur de la liberté d'expression .Le patron de Tesla et de SpaceX s'est offert le réseau social pour 44 milliards de dollars. Une acquisition qui divise démocrates et républicains, les premiers y voyant une menace pour la démocratie quand les seconds espèrent un rééquilibrage en leur faveur.
- Emmanuel Macron réélu : les défis économiques du nouveau quinquennat .Pouvoir d'achat, emploi, industrie… le prochain gouvernement devra préserver les revenus et éviter une reprise du chômage dans un contexte de hausse des prix et de ralentissement de la croissance.
- « Toutes les grandes crises financières ont entraîné une vague de suicides » .Pour le psychiatre et légiste Michel Debout, qui avait alerté dès le printemps 2020 sur les risques suicidaires liés à la crise sanitaire, le spectre d'une inflation due à la guerre en Ukraine est très préoccupant.
- « De notre mobilisation collective contre la précarité et la pauvreté dépend bien la santé démocratique du pays » .Rien ne sera possible sans un profond changement de méthode qui mette la participation démocratique au cœur des politiques de solidarité, explique, dans une tribune au « Monde », Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS).
- Au Maroc, le premier ministre accusé de conflit d'intérêts sur fond de hausse des prix des carburants .Aziz Akhannouch est l'objet de vives critiques en raison de sa double casquette de dirigeant politique et d'actionnaire principal d'Afriquia, leader sur le marché local des hydrocarbures.
- Profession charpentier : le métier « le plus recherché de France » attire de nouveaux profils .La charpenterie séduit de plus en plus d'adultes en quête d'un travail concret, utile et durable. Une bonne nouvelle pour ce métier en tension.
- Poussée de fièvre sur les prix immobiliers dans le centre de Marseille .Délaissée par les acheteurs avant la pandémie de Covid-19, la cité phocéenne connaît une explosion de la demande depuis mi-2020. Les prix ont grimpé et restent orientés à la hausse : il faut donc redoubler d'attention pour y investir aujourd'hui.
- L'argot de bureau : la « disruption », pas si révolutionnaire .Utilisé à tort et à travers pour désigner toute méthode de travail ou toute stratégie d'entreprise innovante, l'adjectif « disruptif » exprime avant tout une rupture avec le passé.
- Catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : près de deux mois de procès .La SNCF, SNCF Réseau ainsi qu'un responsable local comparaîtront du lundi 25 avril au vendredi 17 juin devant le tribunal correctionnel d'Evry pour le déraillement d'un train en 2013. L'accident avait fait sept morts et plusieurs centaines de blessés.
- Les biosimilaires à l'assaut des pharmacies .Le gouvernement pourrait généraliser le recours à ces alternatives, dont les prix de vente sont en moyenne 30 % moins chers que les biomédicaments de référence, afin de réduire les dépenses de santé.
- Les dépenses militaires poursuivent leur course en avant dans le monde .Les budgets de défense ont totalisé 2 113 milliards de dollars en 2021. Derrière les cinq pays les plus dépensiers (Etats-Unis, Chine, Inde, Royaume-Uni et Russie), l'Europe aussi se réarme.
- Chez Danone, un an après le départ de l'ex-PDG Emmanuel Faber, le rôle de Franck Riboud en débat .La société de gestion Phitrust, qui avait soutenu l'ancien patron avant sa chute, associée à cinq autres actionnaires, veut limiter la fonction de président d'honneur du fils du fondateur de l'entreprise.
- La lente conversion du scooter à la mobilité électrique .BMW, pratiquement seul sur ce segment, lance le CE 04, un modèle à batterie dont le tarif dépasse les 12 150 euros.
- L'industrie du parfum s'organise pour éviter la pénurie de matières premières .Des ingrédients indispensables à la parfumerie viennent parfois à manquer pour des raisons climatiques ou géopolitiques. Un cauchemar pour l'industrie du luxe, qui organise des filières vertueuses afin de préserver ses références emblématiques.
- Résidence principale : l'exonération fiscale sur les plus-values s'applique-t-elle si on a aussi un logement professionnel ? .A la vente du logement familial, le fait d'occuper régulièrement un autre logement pour raisons professionnelles n'empêche pas, souvent, de bénéficier de l'exonération réservée à la résidence principale, note Olivier Rozenfeld, conseil du groupe harvest et consultant.
- A Paris, le retour du tourisme du monde d'avant-Covid .Américains et Européens ont repris possession des quartiers touristiques de la capitale et remplissent les monuments, musées et bateaux-mouches. Dans l'ombre, une nouvelle offre se prépare.
- Pâtissier, fromager, apiculteur, ébéniste… Se reconvertir dans un métier manuel, du fantasme à la réalité .Les belles histoires de reconversion radicale dans des métiers manuels et artisanaux ne doivent pas faire oublier les difficultés parfois rencontrées ou les évolutions professionnelles plus sinueuses.
- NFT : les deux faces des collectionneurs de crypto-art .Le marché des jetons dit « non fongibles » se divise en deux catégories. D'un côté, des acheteurs qui spéculent et, de l'autre, une communauté de passionnés.
.Source : Le monde
LES ECHOS
- Les fonds millennials confrontés au vieillissement de la génération Y .Une poignée de fonds communs de placement cible les entreprises répondant aux attentes de la génération Y, née entre 1980 et 2000. Au fur et à mesure qu‘elle avance en âge, cette population voit ses besoins évoluer. Les fonds doivent s‘adapter.
- Les entreprises européennes face à un mur de 22 milliards de dollars de dette russe .A mesure que les sanctions tombent, les entreprises européennes tentent de rompre leur relation avec leurs prêteurs russes. Un objectif quasi impossible pour les industriels qui ont contracté plus de 22 milliards de dollars de crédit avec ces acteurs.
- L‘embargo indonésien sur l‘huile de palme dope les prix alimentaires .Le président indonésien a décidé d‘interdire les exportations d‘huile de palme pour endiguer l‘inflation alimentaire au sein du pays. Les huiles végétales flambent à des niveaux historiques.
- Comment les banques ont manoeuvré à travers les sanctions pour sauver Gefco .Tétanisées par les risques de sanctions, les banques de Gefco ont multiplié les précautions pour assurer la cession de la participation détenue par la compagnie des chemins de fer de la Fédération de Russie.
- Les filiales de groupes français en Russie en quête d‘options face aux sanctions .Des entreprises françaises, encore actives en Russie, tentent de réaménager leur crédit existant avec leur banquier russe, sans exiger de nouveaux prêts. Ou cherchent à se tourner vers des banques régionales non visées par les sanctions. Mais l‘étau se resserre.
- La transparence sur la gestion des ressources humaines, un premier pas vers de meilleures pratiques .La dernière enquête de la Workforce Disclosure Initiative de l‘ONG ShareAction révèle que les entreprises qui rendent des comptes sur la gestion de leurs ressources humaines présentent moins d‘inégalités de revenus liés au genre et à l‘ethnicité.
- La bourse décroche, plombée par la crainte d‘un ralentissement mondial .La réélection d‘Emmanuel Macron n‘a pas suffi à rassurer des investisseurs angoissés par la poursuite de la guerre en Ukraine, l‘agressivité de la Fed et la politique sanitaire en Chine. L‘indice CAC 40 a abandonné 2,01 % lundi, dans le sillage d‘une forte chute des places asiatiques.
- Le fonds souverain norvégien plonge de 67,5 milliards d‘euros en 2022 .Le plus grand fonds souverain au monde, celui de la Norvège, a perdu 4,9 % au premier trimestre, soit 67,5 milliards d‘euros. En trois mois, il a rétrocédé près de la moitié de ses gains de 2021. Comme pour la plupart des fonds, souverains ou de pension, un scénario de stagnation inflationniste est le plus défavorable.
- La remontée des taux fait vaciller les marchés .Les taux américains à 10 ans, qui influencent les prix des actifs financiers mondiaux, ont quasiment doublé depuis le début de l‘année. En fin de semaine dernière, ils n‘étaient plus qu‘à quelques points de base de la barre psychologique des 3 %. Pour les investisseurs, l‘environnement se dégrade sur tous les plans. La semaine dernière, à wall street, le S&P 500 a encore perdu 2,75 % et le nasdaq 3,83 %.
.Source : Les echos
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