
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- A la veille des législatives, l'économie italienne à l'épreuve de la crise énergétique .Alors que l'extrême droite de Fratelli d'Italia pourrait remporter la majorité des voix lors des élections générales du 25 septembre, le pays, affaibli par la forte inflation, reste miné par les problèmes économiques structurels.
- Dans le contexte actuel, est-ce une bonne idée d'investir sur les obligations indexées sur l'inflation ? .Ces titres dont la rémunération est indexée sur la hausse des prix ne manquent pas d'atouts, à condition de passer par des produits financiers spécialisés.
- « Il faut remercier François Ruffin et Fabien Roussel d'avoir remis le travail au cœur du débat à gauche » .Dans une tribune au « Monde », un collectif de responsables politiques et d'économistes explique que la gauche doit arrêter d'être défaitiste en renonçant au plein-emploi. Elle ne doit pas oublier l'importance du travail dans la société, et ce que nous devons tous à ceux qui l'assument.
- Le débat sur l'« assistanat » fait son retour à la faveur de la crise économique .Face aux difficultés de recrutement, ce thème traditionnel de la droite est désormais repris jusqu'au Parti communiste. Le chef de l'Etat lui-même oppose « ceux qui bossent » et les bénéficiaires des allocations.
- Des livreurs Uber Eats sans-papiers réclament leur régularisation .La plate-forme américaine a déconnecté plus de 2 500 comptes jugés « frauduleux », mettant en lumière un recours massif à des travailleurs sans titre de séjour.
- Un an après, le plan de Macron pour Marseille face à ses derniers arbitrages .Si la structuration du plan d'aide de l'Etat avance, la question des transports reste un sujet de tensions majeur entre la mairie de Marseille et la métropole.
- Patrick Artus : « L'économie française souffre de quatre graves fragilités » .L'économiste détaille, dans sa chronique, les maux du pays : l'incapacité de l'industrie à répondre à la demande, le recours chronique au déficit public, la faiblesse du taux d'emploi et la disparition des gains de productivité.
- Face au couple récession-inflation, le krach se poursuit à wall street .actions, obligations, pétrole, devises face au dollar… Les marchés financiers ont terminé la semaine sur une baisse généralisée, terrassés par des taux qui n'en finissent pas de s'envoler.
- Accusé d'être climatosceptique, le patron de la Banque mondiale n'envisage pas de démissionner .La Maison Blanche a dit « condamner », vendredi, les propos de David Malpass, qui avait refusé de reconnaître, lors d'une table ronde, le rôle des énergies fossiles dans le réchauffement climatique.
- Londres supprime le plafonnement des bonus des banquiers .Permise par le Brexit, la sortie de cette règle se veut le point de départ d'une dérégulation financière visant à attirer au Royaume-Uni les banques internationales.
- JO de Paris 2024 : le géant chinois Alibaba ne s'occupera pas des données sensibles .La société française Atos hébergera les informations sensibles, dont celles d'autorités publiques et de policiers, pour le compte de son partenaire.
- Entre gel des factures d'énergie et fortes baisses d'impôt, l'énorme pari budgétaire du gouvernement britannique .Le cabinet de Liz Truss va emprunter autant que lors de la grande crise financière de 2008. Les marchés s'inquiètent et l'opposition parle de « folie ».
- Les banques, maillons faibles des pays émergents .Dans de nombreux pays émergents, les établissements financiers ont acheté de la dette publique. La hausse des taux les fragilise.
- « L'été 2022 pourrait devenir la norme à partir de 2050, le statu quo n'est donc pas une option » .L'expert de l'assurance Nicolas Bauduceau estime, dans une tribune au « Monde », que la résilience collective face aux sinistres à venir doit passer par un soutien public et privé accru aux décisions individuelles de prévention des risques.
- Avec Rodolphe Belmer, TF1 change de capitaine pour digérer l'échec des noces avec M6 .L'ancien dirigeant de Canal+ et d'Eutelsat remplace Gilles Pélisson à la tête du groupe de télévision.
- « Le coût des aléas climatiques pris en charge par l'assurance pourrait doubler à l'horizon 2050 » .Les assureurs Jean-Louis Bancel et Roland Nussbaum appellent, dans une tribune au « Monde », à une révision du rôle de l'assurance, dont les modes opératoires traditionnels sont remis en question par la montée des périls.
- Budget de la Sécurité sociale : les industriels pharmaceutiques veulent un allégement de leurs impôts .Les industriels veulent obtenir une révision de la clause de sauvegarde, une taxe spécifique au secteur, dont ils jugent le montant trop élevé.
- « Deux cultures du risque, naturel et technique, continuent de coexister » .Le chercheur Franck Guarnieri montre, dans une tribune au « Monde », que les entreprises n'ont pas encore pris toute la mesure du lien de plus en plus fréquent entre aléas climatiques et accidents industriels.
- Géopolitique : « La mobilisation contre la Chine fait l'unanimité aux Etats-Unis » .Un rapport du Special Competitive Studies Project, un groupe de réflexion, pointe la perte de vitesse des Américains dans la course pour la suprématie dans le secteur high tech. Le remède : la reprise en main par la puissance publique, explique Philippe Escande éditorialiste économique au « Monde ».
- L'ancien patron de Canal+ Rodolphe Belmer va prendre la tête de TF1 après l'échec de sa fusion avec M6 .« Je suis convaincu que nous saurons ouvrir au groupe TF1 de nouvelles perspectives de développement et de croissance », a dit le futur PDG, qui devrait entrer en fonctions en février 2023.
.Source : Le monde
LES ECHOS
.
Source : Les echos
0 Commentaire