
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Capitalisme et écologie sont-ils incompatibles ? .« Nos futurs, la parole à la relève ». Pour la 3ᵉ édition du festival rennais Nos futurs, coorganisé par « Le Monde » et les Champs libres, jeunes et experts s'interrogent sur les liens entre capitalisme et climat.
- Face à l'urgence climatique, faut-il en finir avec le capitalisme ? .Records de chaleur, inondations, tempêtes,... face aux effets du réchauffement climatique, certains imaginent repenser notre modèle économique pour le rendre plus vert.
- A quoi s'attendre avec le « passe rail » promis par Emmanuel Macron ? .Annoncé par Emmanuel Macron le 4 septembre 2023, le projet de ticket unique à 49 euros par mois destiné aux jeunes pour emprunter les TER, les Intercités et les transports en commun dans toute la France verra bien le jour cet été. Ses modalités sont en cours de préparation.
- bourse : quelles perspectives pour les fonds d'actions américaines ? .La bourse américaine continue d'afficher une forme insolente, tirée par les performances des « sept magnifiques », à savoir les Gafam, Tesla et Nvidia.
- De la Mauritanie à l'Assemblée nationale, la quête de justice du fils de Moussa Sylla .En 2022, ce Mauritanien trouvait la mort alors qu'il nettoyait les sous-sols du Palais-Bourbon. Un an plus tard, son fils quittait son village et arrivait clandestinement en France afin d'obtenir les indemnités d'assurance dues à sa famille. Si l'aspect financier est aujourd'hui débloqué, la lumière sur l'accident est, elle, loin d'être faite.
- « Les pratiques religieuses s'affirment à nouveau dans l'entreprise et surprennent les manageurs » .Moins médiatique qu'à l'école, la question du fait religieux en entreprise pose pourtant des problèmes croissants aux manageurs, comme l'explique Lionel Honoré, professeur en sciences de gestion, dans un entretien au « Monde » .
- Face à la Chine, l'Allemagne continue à préférer le rapprochement à l'affrontement .Le chancelier allemand, Olaf Scholz, est attendu à Pékin à partir de dimanche pour une visite qui devrait célébrer les liens économiques entre les deux pays. Loin des promesses de changement stratégique affiché par Berlin ces derniers mois.
- Capitale européenne de la culture, Bourges deviendra, en 2028, le cœur battant de la France .Se présentant comme l'antimodèle du dispositif, la préfecture du Cher, 64 000 habitants, a raflé la mise en décembre 2023. Promesse d'une aube dans la « diagonale du vide ».
- A Toulouse, les employés de Brico Privé dénoncent un plan social injuste .Les salariés de l'entreprise d'e-commerce engagent un bras de fer contre le groupement Les Mousquetaires, leur actionnaire majoritaire, pour réclamer des mesures plus avantageuses dans le cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi.
- Nickel en Nouvelle-Calédonie : eramet et sa filiale en guerre ouverte avec la province Nord .La SLN, opérateur historique de l'industrie du nickel en Nouvelle-Calédonie, a été sommée de cesser toute activité minière en province Nord, faute de répondre aux exigences en matière de garanties financières. Depuis, le bras de fer est engagé avec le président indépendantiste de la collectivité.
- Irène Tolleret, eurodéputée : « L'application provisoire du CETA nous permet de fonder notre vote sur des faits et des chiffres et non sur de l'idéologie » .L'élue européenne Renew défend, dans une tribune au « Monde », le bilan positif des six années pendant lesquelles le traité entre l'UE et le Canada a été mis en œuvre en attendant sa ratification par les 27 Etats-membres.
- « La crise agricole en Europe peut se lire comme l'expression d'une mondialisation arrivée à ses limites » .Les économistes Thierry Pouch et Aurélie Trouvé (députée La France insoumise) expliquent, dans une tribune au « Monde », la contradiction entre les ambitions écologiques affichées en matière d'agriculture et le modèle des marchés agricoles mondialisés.
- CETA : « La concurrence extra-européenne est souvent un coupable commode pour éviter d'affronter les questions de fond » .Les accords commerciaux sont indispensables aux objectifs européens de souveraineté et d'environnement, avance l'économiste Sébastien Jean, dans une tribune au « Monde ». A condition de bien les négocier.
- L'avenir d'Atos se calcule en pointillé à Angers .Le groupe possède deux sites dans le Maine-et-Loire, dont celui qui produit les supercalculateurs dans l'ancienne usine Bull, et y emploie près de 450 salariés.
- « Le vote des sénateurs contre le CETA sanctionne un quadruple échec de la politique commerciale européenne » .Le rejet justifié du CETA montre que les traités de commerce doivent désormais être négociés en fonction des objectifs de transition énergétique et de préservation de la biodiversité, estime l'économiste Mathilde Dupré.
- Le gouvernement veut simplifier le droit minier pour accélérer les projets en France .Le ministre de l'économie, Bruno Le Maire, a annoncé, vendredi, des mesures de simplification pour accélérer l'installation de mines et de projets géothermiques. Objectif : augmenter la production énergétique et sécuriser les approvisionnements en matières premières stratégiques.
- Marc-William Palen, historien : « Le libre-échange de gauche promettait d'instaurer la paix mondiale » .Contrairement aux dynamiques à l'œuvre depuis les années 1970-1980, la liberté du commerce mondial a longtemps été défendue par des pacifistes, des anti-impérialistes et des progressistes, rappelle, dans une tribune au « Monde », le professeur d'histoire à l'université d'Exeter (Royaume-Uni).
- Voiture électrique : « Détrôné par BYD à la place de premier constructeur en Chine, Volskwagen a choisi la contre-offensive » .Le groupe allemand a annoncé investir 2,5 milliards d'euros supplémentaires dans son centre de recherche de Hefei afin de développer des modèles à petit prix, alors que, depuis janvier, ses ventes bondissent dans l'empire du Milieu et diminuent fortement en Europe, observe Philippe Escande, journaliste économique au « Monde ».
- Qui est Trafigura, ce géant du négoce de matières premières, qui a racheté la raffinerie de Fos-sur-Mer .La société helvético-singapourienne est l'un des très discrets et très puissants acteurs de la chaîne des matières premières ? et singulièrement du pétrole ? sur la planète. Elle a désormais entrepris de se diversifier dans l'amont et dans l'aval.
- ExxonMobil réduit ses activités en France et supprimera 677 emplois en 2025 .Le géant américain va arrêter une partie des activités pétrochimiques de son grand site normand de Gravenchon, sur la Seine, entre Rouen et Le Havre, considérées comme non rentables, et il vend sa raffinerie de Fos-sur-Mer à un consortium américano-suisse.
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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