
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Le divorce sans juge pas toujours reconnu hors de France .Le nouveau divorce par consentement mutuel n'est pas reconnu par nombre de pays, qui l'assimilent à un accord privé. Un élément important contre lequel les avocats devraient mettre en garde leurs clients.
- RATP : l'ouverture à la concurrence des autobus parisiens étalée jusqu'à fin 2026 .L'annonce a été faite par la présidente d'Ile-de-France Mobilités, Valérie Pécresse, dans « Les Echos ». La date butoir de fin du monopole prévue en décembre 2024 faisait craindre des mouvements sociaux pendant l'été des Jeux olympiques.
- Elsa Godart, philosophe : « Sur le numérique, l'innovation doit aussi être celle de l'éthique, et parfois cela implique d'interdire avant d'autoriser » .La psychanalyste estime, dans un entretien au « Monde », qu'il est nécessaire de mettre en place une charte de l'éthique et du numérique. Selon elle, « il nous faut ériger de nouvelles règles » face aux innovations technologiques qui nous dépassent.
- Les voix générées par intelligence artificielle, un « enjeu juridique » .L'IA constitue notamment une menace pour les artistes interprètes et les doubleurs. Les musiques créées avec de tels logiciels ne peuvent en effet être considérées comme des œuvres originales.
- Sur Internet, le nouvel âge de l'arnaque à grande échelle : faux sites Web, voix clonée, e-mail usurpé… .La dématérialisation de nos activités ouvre la porte à la multiplication des fraudes. En acquérant une maîtrise du numérique et des outils de l'intelligence artificielle, les criminels redoublent d'imagination pour soutirer de l'argent.
- Matières premières : « Le pécule du tubercule » .Après le recul de la collecte en 2022, le cours de la pomme de terre s'envole et les industriels aux abois courtisent les producteurs, note Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
- « Les assureurs semblent s'être longtemps illusionnés sur leur capacité d'adaptation au risque du changement climatique » .L'ingénieur et historien de l'énergie Michel Lepetit appelle, dans une tribune au « Monde », le secteur de l'assurance à s'unir pour surmonter la crise majeure que représente l'accumulation des catastrophes climatiques.
- Paris à vélo : 10 lieux où trouver de la fraîcheur de Denfert à la Seine .Du réservoir de Montsouris au puits artésien de la Butte-aux-Cailles, de la centaine d'arbres du jardin de l'Observatoire à l'école « oasis » place Jeanne-d'Arc, un itinéraire cycliste rive gauche pour rester au frais même en cas de coup de chaud.
- Avec le réchauffement, la menace d'une France inassurable .Sécheresse, grêle, tempêtes : en 2022, l'accumulation des sinistres a fait bondir la facture des indemnisations, et les perspectives d'évolution du risque climatique font craindre une remise en cause de la capacité même à assurer.
- Comment construit-on un tarif d'assurance à l'heure du réchauffement climatique ? .« Le Monde » a calculé la manière dont les compagnies d'assurances établissent leur tarification et tenté d'analyser les conséquences du dérèglement du climat sur les cotisations payées par les assurés.
- « Le notaire et l'agent immobilier m'ont expliqué qu'on pouvait cacher les fissures avec des tableaux » .Les fissures dues à la sécheresse menacent une maison sur deux en France métropolitaine. L'assureur Covéa (MMA, GMF, MAAF) participe à une expérimentation visant à stabiliser des habitations endommagées dans le Centre-Val de Loire.
- Face aux aléas climatiques, l'assurance gagne du terrain chez les agriculteurs fragilisés .Depuis le 1ᵉʳ janvier 2023, le cadre législatif d'indemnisation des calamités agricoles repose sur le partage du risque entre l'Etat, les agriculteurs et les assureurs. Et les agriculteurs assurés seront mieux dédommagés que les autres.
- Aux Antilles, une protection encore très inégale .A la Martinique et à la Guadeloupe, quatre maisons sur dix ne sont pas couvertes par une assurance multirisque habitation. Dans ces îles régulièrement balayées par des ouragans et vulnérables au réchauffement climatique, les attitudes évoluent lentement.
- Pour l'économiste Philippe Trainar, « les assurés vont devoir accepter de payer plus cher » .Philippe Trainar, professeur titulaire de la chaire Assurance du Conservatoire national des arts et métiers et membre du cercle des Economistes, estime dans un entretien au « Monde » que le changement climatique représente davantage une occasion favorable qu'un risque pour les assureurs.
- « Le système commercial multilatéral doit mieux garantir la liberté d'action climatique » .L'économiste Sébastien Jean et le haut fonctionnaire Denis Tersen, auteurs de la note « Climat et commerce : pour un multilatéralisme en commun », pour le think tank Terra Nova, estiment, dans une tribune au « Monde », que l'Europe dispose d'un savoir-faire pour mettre en œuvre des alliances favorables à la transition climatique.
- « Ni les assureurs ni les gouvernements ne sont préparés à l'augmentation exponentielle des pertes liées au risque climatique » .Le mathématicien Arthur Charpentier observe, dans une tribune au « Monde », que les assureurs américains sont de plus en plus nombreux à renoncer à offrir une couverture contre les catastrophes climatiques.
- Achat immobilier : à quoi penser avant la signature chez le notaire ? .Avant ce dernier rendez-vous, l'acquéreur doit s'assurer du bon état du bien acquis et de l'effectivité du versement des fonds, rappelle Cécile Dupain, notaire associée chez KL Conseil. Sans oublier de souscrire une assurance.
- Départs en vacances : plus de 980 kilomètres de bouchons cumulés sur les routes .Dans le sens des départs, ce samedi est classé orange au niveau national et rouge pour le Grand-Ouest et le Nord.
- Airbnb dans « Le Monde », de l'utopie à portée de clic au mastodonte à réguler .A un an des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, les prix s'envolent sur la plate-forme. Le 28 décembre 2010, quand une première mention du géant américain y est faite dans le quotidien, l'économie collaborative n'en était alors qu'à ses balbutiements.
- JO de Paris 2024 : Le Coq sportif cherche 30 millions d'euros pour tenir son contrat d'équipementier .L'équipementier officiel de la délégation tricolore pour les Jeux olympiques et paralympiques doit produire 1,5 million de pièces pour Paris 2024.
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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