
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Un nouvel indice de durabilité sur les téléviseurs, pour mieux choisir un modèle durable .Une nouvelle étiquette remplace, à partir du mercredi 8 janvier, l'indice de réparabilité, qui n'évaluait que la capacité à dépanner l'appareil. Parmi les nouveaux critères de calcul : la résistance aux tests de vieillissement accéléré ou la garantie de trois ans.
- « Si on me disait de revenir, ce serait hors de question : j'ai construit ma vie ailleurs » : désireux d'un autre cadre de vie, de jeunes diplômés vivent une partie de la semaine loin du bureau .A l'instar de la décision prise par Amazon, des signaux ont été envoyés en fin d'année 2024 sur une possible récession du télétravail. Un retour en arrière inenvisageable pour ces profils qui ont déménagé loin de la capitale ou des grandes métropoles.
- renault : de l'accord social au contrat d'entreprise .Entreprises. L'accord qui restreint le télétravail et les congés des cadres sert indéniablement la compétitivité de l'entreprise, mais fallait-il négocier des compensations pour la seule catégorie affectée, s'interroge le professeur en sciences de gestion Armand Hatchuel dans sa chronique.
- Retraites : ce qui change en 2025 .Presque toutes les pensions de base sont, finalement, revalorisées de 2,2 %. Certaines retraites complémentaires sont aussi augmentées, à des taux variables selon les régimes. Et les cotisations d'une catégorie d'autoentrepreneurs évoluent.
- En Norvège, un site de stockage attend son carbone désespérément .La coentreprise Northern Lights, financée par Shell, TotalEnergies et Equinor, a inauguré, en septembre 2024, ses douze réservoirs, à Oygarden, sur la côte sud-ouest du pays. Mais, pour l'heure, les industriels censés procéder au captage du COâ‚‚ ne se pressent pas.
- Le Royaume-Uni mise gros sur le captage de carbone .Le gouvernement britannique a prévu d'investir près de 22 milliards de livres dans cette industrie, afin d'atteindre ses objectifs climatiques. Reportage dans l'une des premières unités pilotes du pays, près de Leeds.
- « Les crises de la dette, du climat et de l'environnement se nourrissent mutuellement pour affaiblir les pays en développement » .Si le fardeau de leur dette n'est pas allégé, si les financements promis n'arrivent pas, ces pays ne pourront pas faire face, affirment dans une tribune au « Monde » les économistes Vera Songwe et Guido Schmidt-Traub.
- Nippon Steel et US Steel attaquent l'administration de Joe Biden pour « ingérence illégale » .Les deux groupes contestent le blocage de l'acquisition à 14,9 milliards de dollars, jugée risquée pour la sécurité nationale par le président américain.
- La Fonderie de Bretagne est menacée de fermeture .renault refuse de s'engager sur volume de commandes auprès de cette entreprise de Caudan (Morbihan), menaçant son projet de reprise par le fonds d'investissement allemand Private Assets.
- Immobilier : le marché donne des signes de reprise, après deux années de recul .Dans le réseau Century 21, le nombre de ventes, qui avait chuté de plus de 10 % en début d'année, a bondi d'un peu plus de 20 % au quatrième trimestre 2024. Les autres réseaux font le même constat. Une éclaircie portée par le desserrement du crédit et la baisse des prix des logements.
- US Steel : « Le deuxième mandat de Donald Trump devrait parachever le recul progressif des Etats-Unis du commerce mondial » .Le président américain, Joe Biden, s'est opposé au rachat du sidérurgiste par son concurrent japonais Nippon Steel, vendredi 3 janvier. Une décision qui confirme le repli du pays dans le libre-échange, estime Philippe Escande, éditorialiste au « Monde ».
- Le taux du Livret A va baisser « autour de 2,5 % », annonce le ministre de l'économie .Le taux du Livret A, qui n'a pas connu de baisse depuis 2020, était fixé à 3 % depuis le début de 2023. « Le gouverneur de la Banque de France fera une proposition, très certainement de baisse », pour une mise en appplication au 1er février, a indiqué Eric Lombard.
- Le gouvernement vise un déficit public compris entre 5 % et 5,5 % du PIB en 2025 .Le ministre de l'économie, Eric Lombard, a dit vouloir « protéger la croissance », au premier jour des consultations avec les forces politiques en vue de préparer le budget.
- Les agriculteurs de la Coordination rurale maintiennent la pression sur le gouvernement .Soucieuse de marquer des points durant la campagne des élections aux chambres d'agriculture, qui débute mardi, la Coordination rurale a demandé que les syndicats s'entretiennent avec le premier ministre, François Bayrou. Ce dernier les recevra le 13 janvier.
- Le patrimoine national a baissé avec les prix de l'immobilier .Pour la première fois depuis huit ans, le patrimoine économique national a baissé en 2023. Une conséquence de la baisse de la valeur des biens immobiliers.
- Les agriculteurs de la Coordination rurale bloqués dans leur tentative de rallier Paris .Les manifestants voulaient rejoindre la capitale pour exprimer leur mécontentement, dénonçant toujours l'accord commercial entre l'Union européenne et le Mercosur, mais les forces de l'ordre les ont empêchés d'avancer.
- L'élevage d'oiseaux bruyants au cœur d'un bourg constitue un trouble anormal du voisinage .Même en milieu rural, l'installation de centaines de canards « appelants » près d'une habitation ne saurait être tolérée.
- « A l'aube de 2025, rarement l'économie n'avait cumulé autant de risques et d'incertitude » .Avant la dissolution de l'Assemblée, Emmanuel Macron vantait la stabilité de sa politique économique. Il a dilapidé une partie de son héritage en rendant l'avenir plus incertain, observe dans sa chronique Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».
- Software Heritage et Scikit-learn, ou la « bibliothèque d'Alexandrie » du code source .Portées par l'Inria, les deux initiatives collectent des milliards de codes au service de la science et de nombreux outils destinés à l'intelligence artificielle.
- L'open source, l'armée de l'ombre du logiciel… et de l'Intelligence artificielle .Alors que le raz de marée de l'IA repose largement sur eux, les logiciels libres souffrent d'un manque de visibilité et de reconnaissance en dehors du cercle des initiés. Malgré l'attrait qu'ils suscitent chez les géants du Web, leur avenir dépend en grande partie d'une communauté engagée, mais fragilisée.
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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