
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Comment la fiscalité des bitcoins et des cryptomonnaies va-t-elle évoluer ? .Gains réalisés par les particuliers à titre occasionnel ou professionnel : la cession d'actifs numériques voit ses conditions d'imposition changer, explique Matias Labé, avocat associé chez CMS Francis Lefebvre.
- « L'incapacité à se défaire de notre addiction aux énergies fossiles ne nourrit pas seulement le réchauffement, elle finance la guerre qui nous menace désormais » .Sur les deux menaces apparemment éloignées que constituent la guerre en Ukraine et le changement climatique plane pourtant le même parfum d'hydrocarbures, analyse dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
- Guerre en Ukraine : l'économie française face à un nouveau choc .La forte poussée inflationniste et le haut degré d'incertitude vont peser sur les ménages et les entreprises.
- Les boutiques de luxe étendent leur emprise sur Paris .Après extension, Dior rouvre les portes de son magasin de l'avenue Montaigne. Et Kering entame les travaux d'un nouvel espace Saint Laurent sur les Champs-Elysées.
- Face à la hausse du prix des carburants, la débrouille des automobilistes .En Loir-et-Cher, face à la flambée des prix à la pompe, tout le monde tente de s'adapter.
- Automobile : Volkswagen encore à l'offensive sur le thermique .Avec l'arrivée du Taigo, le constructeur allemand continue de se déployer sur le terrain du petit SUV… au risque de frôler le grand embouteillage.
- Guerre en Ukraine : « Les métaux pris en étau » .La Russie pèse de tout son poids sur les marchés du gaz, du pétrole, du blé, du tournesol, mais aussi de l'aluminium, du nickel, du palladium ou du titane. La planète mesure sa dépendance et s'inquiète des perturbations dans ses approvisionnements, constate Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
- « Les institutions européennes doivent interdire le premier projet d'élevage de pieuvres au monde » .Dans une tribune au « Monde », Caroline Roose, députée écologiste européenne, et Amandine Sanvisens, directrice de l'association Aquatic Life Institute Europe s'insurgent contre l'annonce par une multinationale espagnole de l'ouverture d'un élevage industriel de poulpes.
- A qui profitent les « bullshit jobs » ? .Dans son nouveau livre, le journaliste Nicolas Kayser-Bril enquête sur les « emplois à la con », ces métiers à l'intitulé ostentatoire et incompréhensible, signes selon lui de sociétés ayant les moyens de se payer le luxe de l'inutile.
- Marché de l'art : « Mais pourquoi certains NFT se vendent-ils si cher ? » .Le mathématicien Andrea Baronchelli explique, dans une tribune au « Monde », qu'une meilleure prédiction des prix des NFT serait possible à condition d'encourager la mise en place d'une industrie financière plus mature autour des ces instruments, pour réduire les risques d'investissements liés à leur volatilité.
- Achat immobilier : quand l'acheteur trompe le vendeur .Entre la promesse unilatérale de vente et la signature de l'acte authentique, l'acquéreur d'un bien « occupé » verse une somme d'argent au locataire, afin qu'il parte. Trois ans plus tard, le vendeur l'apprend, et réclame une indemnisation.
- Patrick Artus : « La trajectoire économique future des pays de l'OCDE sera fortement affectée par le Covid-19 » .Transition énergétique, endettement… L'économiste liste, dans sa chronique, les six effets durables de la crise sanitaire sur l'économie mondiale.
- A contre-courant de nombreuses multinationales, de grandes entreprises françaises veulent rester en Russie .Si les groupes de luxe se retirent du pays, d'autres comme renault ou Danone ne sont pas encore sur le départ et les bateaux de TotalEnergies continuent à livrer du gaz russe en Europe.
- Guerre en Ukraine : les mesures de rétorsion des entreprises de technologie contre la Russie .Microsoft, Apple, Facebook, Google et plusieurs entreprises emblématiques du secteur des technologies ont pris, cette semaine, des sanctions plus ou moins strictes contre la Russie et la Biélorussie.
- Gaz : l'Algérie tente de se replacer sur le marché européen à la faveur de la guerre en Ukraine .Sa capacité à suppléer l'offre russe est malgré tout limitée dans l'immédiat, faute d'une production suffisante.
- « Le conseil d'administration devrait être la clé de voûte de la gouvernance » .Partant des dysfonctionnements dans la gouvernance des groupes français, l'avocate Aline Poncelet, l'analyste financier Jean-Florent Rérolle et le banquier David Villeneuve plaident, dans une tribune au « Monde », en faveur d'une émancipation des conseils d'administration, qui devraient disposer de moyens financiers pour s'informer de façon indépendante.
- La guerre en Ukraine fait caler l'industrie automobile européenne .Sanctions, pénuries, arrêts de production… L'onde de choc de l'invasion de l'Ukraine par la Russie commence à se fait sentir dans les usines automobiles européennes.
- Amazon ferme ses librairies « en dur » aux Etats-Unis .Ces boutiques ouvertes depuis 2015 outre-Atlantique n'ont pas été jugées suffisamment rentables par le spécialiste de la distribution en ligne.
- « On est en mode survie » : au Soudan, l'économie en pleine déliquescence .Inflation galopante, effondrement des exportations, risques de pénuries… Quatre mois après le coup d'Etat, tous les indicateurs sont au rouge.
- Turquie : sanctions ou pas, l'invasion russe de l'Ukraine fragilise l'économie .Soucieuse de préserver une forme de neutralité, Ankara redoute l'impact du conflit sur les prix du gaz, des métaux et des produits agricoles.
.Source : Le monde
LES ECHOS
- H2O Asset Management pris dans le piège du rouble .Au moment du krach de la devise russe, l‘un des grands fonds du gestionnaire d‘actifs était nettement exposé au rouble. Déjà dans la tourmente, H2O se serait bien passé de ce nouveau coup de projecteur sur ses paris risqués.
- Les cryptos ne sauveront pas les Russes de la banqueroute .Malgré la guerre, le grand basculement des particuliers et des oligarques vers les cryptos ne s‘est pas produit. Le marché est peu liquide pour gérer de gros flux et le bitcoin n‘est pas un actif refuge idéal pour échapper aux sanctions. Le dollar est plus pratique et plus sûr.
- Deutsche Bank se prépare à la perte d‘un centre informatique stratégique en Russie .Le groupe allemand emploie 1.500 spécialistes informatiques à Moscou et Saint-Pétersbourg. Ceux-ci représentent un quart des ressources informatiques au service de sa banque d‘investissement. Le superviseur bancaire suit le sujet de près.
- Comment les Occidentaux vont débrancher les banques russes de Swift .L‘exclusion de sept banques russes du système Swift entrera en vigueur le 12 mars. Si techniquement il ne s‘agit pas d‘une mesure compliquée, les Occidentaux doivent s‘assurer que certaines opérations déjà en cours ne soient pas bloquées. Cela mettrait potentiellement en difficulté des établissements qui ne sont pas visés par les sanctions.
- Immobilier : malgré la hausse des taux, le crédit reste dynamique .La production de crédits à l‘habitat a encore dépassé les 23 milliards d‘euros en janvier. Les taux continuent leur légère progression, à un niveau qui reste bas (1,12 %). Reste à voir à quel point la guerre en Ukraine va modifier les projets d‘achat des ménages dans les prochains mois.
- Guerre en Ukraine : les bourses européennes enregistrent leur pire semaine depuis le début de la pandémie .Les actions du Vieux Continent sont en pleine déroute. Le CAC 40 a sombré de plus de 10 % cette semaine, sa pire performance depuis mars 2020. Il a chuté de près de 18 % depuis son record du 5 janvier dernier. Les investisseurs internationaux se détournent des fonds actions européens. Ces derniers ont subi leurs plus importants retraits hebdomadaires en 20 ans.
- Ukraine : les prix du blé s‘envolent .La mer Noire est l‘un des plus grands hubs des échanges mondiaux de la céréale. Or, les ports sont presque tous à l‘arrêt. Le blé enregistre jour après jour de nouveaux records historiques.
- Guerre en Ukraine : quand les marchés financent les conflits .L‘émission d‘obligations de guerre par l‘Ukraine rappelle que les marchés ont joué un rôle dans le financement des guerres. Outre les impôts et les taxes, les pays ont recours à la dette à long terme pour financer des conflits de plus en plus coûteux.
- Guerre en Ukraine : le négoce de matières premières sous tension .Les banques se montrent plus frileuses à financer le négoce de matières premières, très exposé à la Russie. L‘accès à des liquidités abondantes est toutefois vital au bon fonctionnement de celui-ci. Les établissements bancaires redoutent de nouvelles sanctions.
- Le palladium, victime collatérale des sanctions contre la Russie .L‘interdiction des appareils russes dans l‘espace aérien européen perturbe la logistique de ce métal précieux, habituellement transporté dans des avions de lignes régulières. Le palladium est indispensable à l‘industrie automobile pour fabriquer les pots catalytiques des voitures à essence.
.Source : Les echos
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