
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Après sa réforme, le Conseil économique, social et environnemental veut relancer le dialogue avec la société civile .Avec un nombre restreint de membres et de nouvelles règles de répartition de son assemblée, le CESE entame sa prochaine mandature le 18 mai et espère se positionner comme un « acteur de la revitalisation démocratique ».
- Comment, en cas de coup dur, financer les études de ses enfants ou préparer sa retraite avec un contrat de prévoyance ? .La responsable des études patrimoniales à l'Union financière de France, Valérie Bentz, préconise avant tout de faire établir un « bilan prévoyance ».
- Pourquoi les pauvres votent-ils à droite ? .Dans « Clivages politiques et inégalités sociales », Amory Gethin, Clara Martinez-Toledano et Thomas Piketty analysent la progression des partis nationalistes, des leaders populistes de droite et d'extrême droite qu'une vingtaine de chercheurs ont essayé d'expliquer, en examinant les panels des sondages post-électoraux dans cinquante pays, de 1948 à 2020.
- « L'opinion française n'est pas à la hauteur de l'ambition climatique que le pays a contribué à forger avec l'accord de Paris » .Le professeur Rodolphe Durand observe, dans une tribune au « Monde », que les Français sont moins prêts que les autres à changer leurs pratiques en faveur de l'environnement, s'en remettant plus volontiers au gouvernement.
- La SNCF lance une série d'offres tarifaires pour remplir ses TGV .Dès lundi, des billets à 39 euros maximum sont proposés sur 3 000 destinations, et les enfants de moins de 12 ans peuvent voyager pour 8 euros.
- Covid-19 : les restaurateurs mitonnent une réouverture à petit feu .Satisfaits d'avoir enfin une visibilité sur le calendrier, les professionnels entament avec circonspection la course d'obstacles de la réouverture.
- A Paris, la CGT prise pour cible à la fin du défilé du 1er-Mai .Une enquête pour « violences volontaires » et « dégradations » en réunion a été ouverte, a fait savoir le parquet de Paris dimanche.
- « Imposer au transport aérien des taxes environnementales trop lourdes le rendrait inaccessible et tuerait une industrie majeure pour la France » .Dans le monde d'après, le ciel ne sera pas tout « vert » même si la crise liée au Covid-19 va accélérer le retrait des avions les plus polluants et pousse les constructeurs à concevoir de nouveaux appareils, observe dans sa chronique, le journaliste au « Monde » Jean-Michel Bezat.
- Bien préparer sa commande, réapprendre à patienter… comment se faire livrer sans trop polluer .Chaque mois, « La Matinale » vous propose une série de gestes à adopter pour réduire votre impact sur la planète.
- « De nombreux Français font des efforts pour consommer différemment, mais pas tout le monde ou pas tout le temps » .Contrairement à 2020, les Français semblent de nouveau faire du prix un critère prioritaire malgré les discours sur le besoin de prendre en compte l'impact environnemental et sociétal de leurs achats, observe dans un entretien au « Monde » Pascale Hébel, directrice du pôle consommation au Crédoc.
- Mere, le hard-discounter venu de Russie à la conquête de l'Ouest .L'entreprise est née en Sibérie, en 2009, des suites de la crise financière et du basculement dans la pauvreté de millions de Russes. Réputée peu regardante sur l'origine et la qualité de ses produits, elle s'attaque désormais aux marchés occidentaux.
- Avec la crise sanitaire, le retour en grâce des enseignes discount auprès des consommateurs .Après une année de restrictions qui a touché le pouvoir d'achat des ménages, les magasins proposant des produits à bas coût grignotent des parts de marché en France, à l'instar de Lidl et Aldi.
- L'engouement pour Napoléon atteint les enchères .Deux ventes auront lieu les 5 mai et 17 juillet. Le culte de la personnalité de l'Empereur a donné lieu à quantité d'objets que les passionnés s'échangent pieusement.
- « Architecture durable » sur Arte : quatre contre-modèles écoresponsables, hédonistes, respectueux de l'environnement et du passé .Cette tétralogie documentaire s'arrête sur des réalisations écologiquement et esthétiquement innovantes au Danemark, en Allemagne, en Chine et en France.
- Pour « une politique agricole et alimentaire commune » .Cinq membres de l'Académie d'agriculture de France proposent, dans une tribune au « Monde », de faire d'une alimentation sûre et saine l'un des objectifs de la politique agricole commune.
- « Moins d'un tiers des agriculteurs sont assurés contre les aléas météorologiques » .L'épisode du gel des vignobles a montré l'insuffisance de la couverture contre les catastrophes climatiques, observe, dans une tribune au « Monde », le professeur de finance Guillaume Bagnarosa.
- « La crise de la Super Ligue a révélé le besoin d'un régulateur européen du football » .La crise déclenchée par le projet de Super Ligue appelle à repenser la gouvernance du football, à reconsidérer la place des supporteurs, des élus, des sponsors au sein des lieux de pouvoir où se décident les orientations stratégiques des clubs, estiment, dans une tribune au « Monde », Richard Bouigue, codirecteur de l'Observatoire du sport, et Ronan Evain, directeur général de Football Supporters Europe.
- Pressions, ruses et assignations : un an de conflit entre restaurateurs et assureurs .Nombre de professionnels bataillent pour obtenir la prise en charge d'une partie des pertes d'exploitation dues aux fermetures administratives décidées dans le cadre de la pandémie de Covid-19.
- A Paris, un 1er-Mai marqué par des tensions .Samedi, le cortège, composé de plusieurs milliers de personnes, a dû patienter près de deux heures avant de pouvoir redémarrer à cause d'affrontements entre manifestants et forces de l'ordre.
- Nicolas Hieronimus, pur produit du sérail L'Oréal .Après trente-quatre ans de maison, cet homme réputé secret, passionné de vélo, prendra ses fonctions de directeur général du numéro un mondial des cosmétiques, samedi 1er mai.
.Source : Le monde
LES ECHOS
- Les rachats d‘actions de plus en plus prisés des entreprises européennes .Tombés à moins de 100 milliards d‘euros en 2020, les rachats d‘actions des sociétés européennes pourraient passer la barre des 200 voire 300 milliards d‘euros en 2023, selon des estimations d‘analystes. Les réserves de cash sont au plus haut depuis 20 ans et un rebond exceptionnel des bénéfices est attendu cette année.
- Epargne : un milliard de plus pour l‘assurance-vie en mars .Après une année noire l‘an dernier, le placement très prisé des Français a drainé 1 milliard d‘euros d‘épargne en net en mars. Les contrats investis en unités de compte, plus risqués que les contrats traditionnels en euros mais potentiellement plus rentables, continuent de faire le plein.
- L‘euphorie boursière s‘essouffle .Les marchés mondiaux sont à la peine. Ils ont reculé au cours des deux dernières semaines en dépit de résultats largement supérieurs aux attentes au premier trimestre. Un signe de fatigue après un début d‘année en fanfare sur les bourses mondiales.
- Les grandes entreprises françaises devraient verser 52 milliards d‘euros de dividendes en 2021 .Malgré la crise, les dividendes versés par les entreprises du SBF 120 devraient rebondir de 42 % cette année. Plus de la moitié des entreprises de l‘indice ont prévu d‘augmenter ou de rétablir le versement d‘un dividende. Mais il faudra vraisemblablement attendre 2023 pour dépasser le niveau record de 2019.
- BNP Paribas Asset Management tourne une page de son histoire en Corée .La banque BNP Paribas a cédé ses 35 % de sa coentreprise locale de gestion d‘actifs à son partenaire local. L‘opération a permis au groupe français de dégager une plus-value, mais elle empêche BNP Paribas AM de se rapprocher un peu plus des 500 milliards d‘euros d‘encours gérés.
- Le courtier en crédit immo Cafpi change de mains .Les fondateurs du pionnier de la négociation de prêt à l‘habitat vont céder le contrôle à BlackFin pour environ 240 millions d‘euros. Le fonds a pris de court les deux derniers concurrents en lice, dont l‘américain Cerberus.
- Financement : la BEI émet 100 millions d‘euros d‘obligations sur la blockchain .Cette grande première a notamment mobilisé la Banque européenne d‘investissement, la Banque de France et Société Générale. Elle a été effectuée dans le cadre d‘un programme d‘études sur la future création d‘un euro numérique. Les titres émis possèdent les mêmes caractéristiques que des obligations classiques.
.Source : Les echos
0 Commentaire