
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Avec le confinement, les particuliers se mettent à boursicoter .Les courtiers en ligne constatent une vague de nouveaux venus sur les marchés financiers. Attirés par la chute des bourses, ils pensent déceler des opportunités. Mais attention aux risques.
- Le Coronavirus force les banques à reporter leurs plans de réduction d’effectifs .De nombreuses banques en Europe et aux Etats-Unis ont annoncé ces derniers jours remettre à plus tard leurs projets de restructuration. Elles veulent éviter d’apparaître comme une partie du problème et font profil bas, aidées par les banques centrales et les gouvernements pour prêter aux ménages et aux entreprises.
- Le krach boursier fragilise les activités de trading des banques d’investissement .La banque néerlandaise ABN Amro a annoncé une perte de 200 millions de dollars liée à un client exposé à des produits dérivés aux Etats-Unis.
- Folle semaine pour les levées de dette d’entreprises .Banquiers et entreprises ont été sur le pied de guerre au cours de la semaine écoulée. Plus de 25 milliards d’euros ont été levés en quelques jours après la réouverture du marché par Engie. Les intervenants ont fait face à des difficultés opérationnelles inédites liées au confinement.
- Coronavirus : le casse-tête des banques pour maintenir des agences ouvertes .D’un réseau à l’autre, entre 5 et 40 % des agences seraient désormais fermées, selon notre décompte. Les établissements doivent jongler avec des effectifs réduits, la protection des salariés présents, et l’obligation de maintenir leurs services.
- Coronavirus : Bercy conditionne son aide aux entreprises à la suppression des dividendes .Le ministre de l’Economie et des Finances en appelle à le responsabilité des grandes entreprises. Si elles décident de verser des dividendes cette année, elles ne pourront pas prétendre au report de charges sociales et fiscales, ni à la garantie d’Etat sur les prêts.
- Prêts garantis: les banques allemandes appellent l’Etat à couvrir 100% des risques .Les banques allemandes rechignent à porter les risques résiduels sur les crédits garantis à 80% par l’Etat, en l’absence de visibilité sur la solvabilité des milliers d’entreprises candidates.
.Source : Les echos
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