
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
.
Source : Le monde
LES ECHOS
- BNP Paribas et Société Générale rejoignent le pool bancaire d’Air France .Après des tractations tout le weekend, les deux banques commerciales françaises se sont finalement jointes au syndicat bancaire qui va accorder à la compagnie aérienne un prêt garanti par l’Etat de 4 milliards d’euros.
- Les banques face au risque d’une remontée des coûts de financement .L’agence de notation financière S&P Global a attaché une perspective négative aux banques françaises, et Fitch alerte sur les pertes de crédit des grandes banques mondiales. De quoi laisser craindre une hausse, à terme, du coût de la ressource des banques.
- Le fonds souverain norvégien menacé de se retrouver sans dirigeant .Le plus grand fonds souverain au monde traverse une grave crise interne en pleine tempête mondiale du coronavirus. Il pourrait perdre son actuel directeur général et son successeur, pour cause de manquement aux règles éthiques et de recrutement.
- Les Etats-Unis bientôt face à une pénurie de viande .Près d’un quart des abattoirs et usines de transformation de porcs est à l’arrêt. Faute de demande, les éleveurs sont contraints d’euthanasier leur cheptel. Les prix en magasin augmentent quand les cours sur les marchés financiers chutent. Les filières du boeuf et de la volaille sont également perturbées.
- Nouveau coup de froid sur les cours du pétrole .Les inquiétudes concernant le stockage et la faiblesse de la demande font de nouveau plonger l’or noir. Lundi, le baril de WTI américain chutait de près de 30 %, sous les 13 dollars. Le Brent de la mer du Nord perdait plus de 8 %, à moins de 20 dollars.
- Shine étoffe sa gamme avec une assurance-facture .Exclusif : la néobanque dédiée aux indépendants et entrepreneurs veut accompagner ses clients, dont près de la moitié souffre de retards dans le paiement de leur prestation depuis le début de la crise du coronavirus.
- Les banques face au casse-tête du chômage partiel .Le 1 er mai, les arrêts maladie pour garde d’enfants vont automatiquement être basculés en chômage partiel. Le sujet pose problème dans les banques, qui sont des activités essentielles et s’étaient engagées à ne pas avoir recours au chômage partiel. Près de 50.000 salariés seraient concernés.
.Source : Les echos
0 Commentaire