
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Wirecard allume un contre-feu pour freiner sa chute en bourse .Le spécialiste allemand du paiement en ligne riposte aux accusations de fraude, en demandant un audit indépendant à KPMG. L’action rebondit à Francfort.
- Quand Extinction Rébellion s’attire la sympathie des hedge funds .Le mouvement activiste de désobéissance civile pour le climat s’attire la sympathie de certains hedge funds. Chris Hohn, le fondateur du hedge fund TCI a fait un don au groupe. Il pourrait bénéficier aussi du soutien discret de la fondation pour une société libre de George Soros.
- La monnaie de Paris ne croit pas à la disparition du cash .L’institut de frappe s’adapte au recul des espèces, mais n’anticipe pas leur disparition totale. Le nouveau plan stratégique s’inscrit dans la continuité.
- Pourquoi une banque sur trois risque de disparaître .Selon une étude de McKinsey, 354 banques - situées principalement en Europe de l’Ouest et en Asie - présentent une rentabilité anormalement faible. Au point qu’elles ne résisteraient pas à un retournement de conjoncture. Or, les nuages s’amoncellent sur la croissance mondiale.
- Matthieu Pigasse quitte la banque Lazard .Le patron de Lazard France a remis sa démission à Kenneth Jacobs, le dirigeant de la célèbre banque d’affaires américaine. Celle-ci sera effective au 31 décembre. Une annonce sur son remplacement sera faite cette semaine.
- Un mois après l’attaque des drones, la production est quasiment revenue à son niveau initial .Missiles et drones des rebelles pro-iraniens avaient ciblé le 14 septembre les équipements clefs des usines d’Abqaiq et de Khurais. La compagnie saoudienne a réussi à mener rapidement les travaux de réparation. Avec en vue, le rétablissement de la pleine capacité d’ici à fin novembre.
- L’entrée en bourse de Saudi Aramco de nouveau reportée .Annoncée comme imminente la semaine dernière, la cotation du géant pétrolier saoudien est finalement reportée, au moins jusqu’à la fin de l’année. C’est la question de la valorisation du groupe, pourtant présenté comme le plus rentable au monde, qui a fait achopper l’opération.
.Source : Les echos
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