
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Prêts garantis par l’Etat : Bercy vole au secours des start-up .Le gouvernement est en discussions avec la Commission européenne pour assouplir le critère d’entreprise en difficulté, qui exclut les sociétés du programme de prêts garantis par l’Etat.
- Le fonds norvégien pris au piège de sa propre éthique .Le plus grand fonds souverain au monde et un des plus vertueux, celui de la Norvège, pourrait connaître une grave crise de gouvernance. Son actuel dirigeant est suspecté d’avoir violé des règles éthiques et le recrutement de son successeur pourrait être remis en cause.
- Coronavirus : le blues des banquiers, en mal de reconnaissance .Dans un rare communiqué commun, la Fédération bancaire française et deux syndicats représentatifs de la profession dénoncent le manque de reconnaissance des autorités envers leur travail, pourtant indispensable, selon elles, au maintien de l’activité en cette période de crise.
- Le prix du baril de pétrole négatif aux Etats-Unis pour la première fois de l’histoire .Le baril de WTI s’est effondré ce lundi, pour s’échanger à -37,63 dollars sur les marchés à terme dans la soirée. Les cours subissent de plein fouet l’effondrement de la demande et la saturation des capacités de stockage.
- Face à l’épidémie, une facture difficile à prévoir pour les assureurs santé .Confinement oblige, les Français vont moins chez le médecin ce qui fait moins de dépenses à rembourser par leur complémentaire santé. En revanche, les soins reportés ou encore les tests de dépistage du coronavirus pourraient coûter cher aux assureurs.
- Coronavirus : la banque publique SFIL, premier prêteur des hôpitaux .Le groupe, récemment intégré dans le giron de la Caisse des Dépôts, est le premier financeur des hôpitaux publics en France. Il a adopté des mesures d’urgence et se mobilise pour apporter les fonds nécessaires aux investissements du futur plan hôpital.
- L’exécutif débarrasse les assureurs des arrêts de travail liés au confinement .L’exécutif s’apprête à mettre en chômage partiel les malades chroniques, femmes enceintes et parents de jeunes enfants bénéficiant d’un arrêt de travail du fait du confinement. De quoi enlever une épine du pied des assureurs qui ne voulaient pas prendre en charge toute une partie de ces arrêts et alléger la facture finale.
.Source : Les echos
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