Revue de presse / a la une du 20/05/2020

Presse française boursière et financière du mercredi 20 mai 2020.

Au menu de la presse française ce matin :

LE MONDE

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LES ECHOS

- Vaccin : les bonnes affaires des dirigeants de la biotech Moderna .Les dirigeants actionnaires de Moderna, l’une des sociétés les plus en vue aux Etats-Unis pour la mise au point d’un vaccin contre le Covid-19, ont largement profité de l’envol du cours de la société depuis le début de l’année.

- Sondage : les investisseurs croient peu à une reprise en V .Le dernier sondage mensuel réalisé par BoFA montre que les gérants de fonds internationaux conservent des niveaux de cash élevés. Ils ne croient pas à un véritable changement de tendance. Plutôt à un rebond dans un marché baissier.

- Oddo BHF et deux fonds en lice pour le rachat de la banque de détail de HSBC France .Alors que l’intensité des discussions faiblit avec Société Générale et La Banque Postale autour de la cession du pôle bancaire et ses quelque 5.000 salariés, trois nouveaux acteurs poussent leur avantage : Oddo BHF ainsi que les fonds AnaCap et Cerberus.

- Les particuliers américains parient massivement sur la reprise de l’aviation .Le fonds indiciel coté (ETF) JETS, qui investit dans le transport aérien, connaît un succès sans précédent. Alors que Warren Buffett se désengage du secteur, les particuliers américains spéculent sur son rebond.

- Natixis veut en finir avec le gaz et le pétrole de schiste .Une semaine après avoir été épinglée par le rapport de l’ONG les Amis de la Terre, la filiale de BPCE prend de nouveaux engagements sur le schiste américain ainsi que sur le charbon.

- Le fonds saoudien fait ses emplettes sur les marchés internationaux .Disney, Boeing, Citigroup ou encore total et BP : le fonds souverain saoudien a profité de la chute des marchés mondiaux pour investir plusieurs milliards de dollars. Dans le même temps, l’Arabie saoudite est contrainte de réduire ses dépenses et tripler la TVA face à la chute des prix du pétrole.

- Pourquoi les Allemands craignent tant l’inflation .Les souvenirs de l’hyperinflation liée aux réparations de guerre du début des années 1920 ont traumatisé la mémoire collective en Allemagne. La tradition ordo libérale qui s’y nourrit d’intérêts économiques peu compatibles avec une hausse des prix renforce l’attachement viscéral de l’opinion allemande à la stabilité des prix.

- La bombe à retardement des prêts garantis par l’Etat .Les prêts d’urgence garantis par l’Etat permettent aux entreprises de passer la crise. Mais ils risquent de créer des situations de surendettement. Les spécialistes se préparent à une vague de restructurations.

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