
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Blanchiment : Danske Bank quitte les pays baltes et la Russie .Les autorités estoniennes ont demandé à la banque danoise de cesser ses activités locales dans les huit mois. Danske a décidé de fermer ses filiales dans tous les pays baltes et en Russie.
- La visibilité reste réduite pour les valeurs automobiles .Chahuté en 2018, le secteur accélère en bourse, en phase avec le marché. Mais les conditions de circulation restent difficiles et les obstacles nombreux.
- Elliott pourrait aller au-delà de l’activisme actuel en prenant le contrôle de sociétés cotées .Le hedge fund souhaiterait lever au moins 2 milliards de dollars auprès d’investisseurs pour lancer des OPA sur des sociétés cotées.
- Le fonds activiste Elliott cherche à relancer sa performance .Le fonds, qui a enregistré un faible rendement de 2 % en 2018, cherche de nouvelles sources de performances.
- Fort appétit pour l’emprunt à 30 ans de la France .Dans un contexte favorable aux émissions de dette d’Etat, la France a émis par syndication une OAT à 30 ans. Le livre d’ordres a dépassé 33,5 milliards d’euros en cours d’opération.
- Comment les bureaux de recherche s’organisent pour faire face à des recettes en baisse .La place de Paris plaide pour une révision des règles européennes. Cela risque d’être trop long alors, entre-temps, les acteurs s’organisent pour résister aux effets pervers de MIFID 2.
- MiFID II : les tarifs de l’analyse financière vont encore baisser en 2019 .Les budgets alloués par les sociétés de gestion à la recherche, déjà en repli l’an dernier, vont encore diminuer cette année. Le suivi des valeurs se dégrade à la bourse de Paris.
- Comment les gestionnaires d’actifs se préparent au Brexit .Si la délégation de gestion restera possible, en revanche la commercialisation de produits financiers en Europe par des équipes basées à Londres ne sera plus autorisée.
- Brexit : HSBC revoit ses plans parisiens .Initialement, la banque sino-britannique envisageait de transférer un millier de postes à Paris. Cette prévision n’est plus d’actualité : à ce jour, environ 100 personnes ont rejoint les équipes parisiennes.
.Source : Les echos
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