
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Les marchés expriment leurs doutes à l’égard de la BCE .la banque centrale européenne va tenir son forum annuel de Sintra dans un climat tendu. Les anticipations d’inflation par les acteurs financiers déclinent à des plus bas historiques. Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, s’inquiète du message qu’envoient les marchés.
- Le marché du carbone européen a gagné en crédibilité .Pour la première fois depuis 2010, le prix du CO2 a un effet sur le secteur électrique, davantage incité à produire au gaz qu’au charbon, selon un rapport coproduit par le think tank I4CE. Mais, du Brexit à l’impact des autres politiques climat européennes et nationales, les enjeux à plus long terme de ce marché restent immenses.
- Frais bancaires : la Banque de France salue des avancées mais reste vigilante .Les banques ont bien plafonné les frais bancaires pour les ménages en difficulté financière comme elles s’y étaient engagées en fin d’année dernière. La Banque de France leur demande cependant d’identifier de façon plus précoce les clients fragiles et reste sur ses gardes sur la diffusion de l’offre bancaire à bas coût dédiée aux plus démunis.
- Fusions-acquisitions : l’intervention des Etats inquiète .La montée au créneau des Etats dans les fusions alarme depuis les tentatives de rapprochement Alstom-Siemens, Fiat-Renault et UniCredit-Commerzbank. Et ce, alors que des gouvernements veulent se doter d’un droit d’appel sur les décisions de Bruxelles en matière de contrôle des concentrations.
- Facebook Credits : une première expérience ratée .Entre 2009 et 2013, Facebook expérimenta sa pseudo-monnaie interne, les Facebook Credits. Sa création visait à inciter ses clients à passer plus de temps sur le réseau social permettant à Facebook de vendre davantage de publicités. Cette expérience s’arrêta au moment où le bitcoin décollait.
- Assemblées générales 2019 : les leçons à tirer .Derrière des taux d’approbation élevés, se cachent de grandes disparités. Les rémunérations des patrons sont parfois très contestées, comme les renouvellements des PDG. Mais aussi, de plus en plus, un fossé se creuse entre les entreprises contrôlées par un actionnaire de référence et celle qui ont un large flottant.
.Source : Les echos
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