
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
.
Source : Le monde
LES ECHOS
- François Villeroy de Galhau réaffirme la détermination de la BCE après la décision de Karlsruhe .Dans un discours adressé aux étudiants de l’Université Bocconi de Milan, le gouverneur de la Banque de France a rappelé que la banque centrale européenne était plus que jamais engagée et déterminée à remplir son mandat. Il a également défendu son indépendance.
- Les bourses mondiales reviennent à la réalité .Les marchés qui avaient rebondi de façon spectaculaire depuis la fin mars sont à nouveau en proie au doute, même si wall street a fini par clôturer en hausse. Cette semaine, le président de la Fed a balayé le scénario d’une reprise en V et évoqué une reprise lente de l’activité et une période prolongée de croissance faible.
- Les agences de notation se défendent d’aggraver la crise .Les agences de notation ont dégradé à un rythme inédit les notes des entreprises. Un organe de surveillance européen va mesurer l’impact de ces dégradations à grande échelle sur les marchés et le système financier Moody’s se défend d’avoir un effet amplificateur sur la crise.
- Les régulateurs craignent une nouvelle crise de liquidité en Europe .La fuite des investisseurs au début de la crise a mis sous pression les fonds européens, particulièrement les fonds de dette d’entreprise et d’immobilier. Les régulateurs veulent s’assurer qu’une nouvelle vague de retraits ne mettrait pas en péril la stabilité de l’industrie financière.
- Fragilisées par la crise, les fintechs tentent de fidéliser en jouant la carte de la solidarité .Les fintechs, dont le modèle économique est fragilisé par la crise, multiplient les initiatives au service de la communauté. Un moyen de fidéliser et d’accompagner le bond de l’usage des services numériques.
- A wall street, les traders rient, les banquiers pleurent .La récession qui se profile va faire fondre les bonus des salariés des grandes banques américaines, selon une étude. A l’exception de ceux qui opèrent en salles de marchés et qui ont pu profiter de l’extrême volatilité de ces dernières semaines.
- Pourquoi le pétrole retrouve de la vigueur .La demande repart doucement et la production recule rapidement dans les pays de l’Opep et en Amérique du Nord. Les stocks restent à un niveau record mais amorcent un reflux. Le cours du brent a bondi de plus de 50 % depuis le plus bas du 21 avril.
- Le coronavirus pourrait coûter 200 milliards aux assureurs, selon les Lloyd’s .Les assureurs devraient être contraints de dédommager leurs clients touchés par le covid-19 à hauteur de 107 milliards de dollars à travers le monde, note le marché des Lloyd’s. La tempête boursière pourrait leur coûter 96 milliards de dollars.
.Source : Les echos
0 Commentaire