
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Maritime : un test pour l’assurance des risques de guerre .Les attaques contre deux tankers en mer d’Oman pourraient entraîner un renchérissement des surprimes d’assurance demandées aux armateurs pour le Golfe persique.
- Changement de président en vue à la tête des assureurs .Quelques jours avant l’élection à la présidence de la Fédération française de l’assurance, Bernard Spitz a renoncé à briguer un nouveau mandat. Florence Lustman, l’actuelle directrice financière et des affaires publiques de La Banque Postale, devrait lui succéder.
- Bâle III : les autorités ont bien l’intention de mettre en oeuvre .Les grandes banques du Vieux continent aimeraient voir adouci l’impact des accords de Bâle III. De quoi piquer au vif les autorités européennes qui ont participé à leur élaboration. A l’occasion de l’inauguration des bureaux parisiens de l’Autorité bancaire européenne, elles ont maintenu leur engagement à mettre en oeuvre l’accord… sans naïveté face aux Etats-Unis.
- Au Tchad, Glencore veut vendre ses actifs pétroliers .Le groupe de matières premières avait acheté Caracal Energy pour 1,3 milliard de dollars en 2014, quelques mois avant la chute des cours mondiaux du pétrole. L’an dernier, il a produit près de 2,8 millions de barils au Tchad.
- L’internationalisation de l’euro favorise les taux bas .La zone euro profite du statut de deuxième devise mondiale de sa monnaie en s’endettant à des taux d’intérêt plus bas. La devise européenne peine à s’imposer dans le commerce mondial face à la domination du billet vert qui reste très populaire dans les pays émergents.
- L’euro regagne un peu d’influence sur la scène mondiale .Après avoir reculé dans le sillage de la crise financière, le poids de l’euro s’est renforcé sur la scène internationale en 2018 et début 2019, selon la BCE. L’utilisation accrue de la devise européenne s’explique principalement par un moindre recours au dollar alors que banques centrales et économies émergentes ont diversifié leurs réserves de change.
- Le fonds souverain norvégien tourne le dos aux énergies du passé .Après le vote du Parlement norvégien, le plus grand fonds souverain du monde va sortir des énergies fossiles pour investir dans les marchés du solaire et de l’éolien. Au moins 150 entreprises pétrolières et gazières sont concernées par ces désinvestissements pour un total de 7,5 milliards de dollars. Un chiffre qui passe à 13 milliards de dollars en ajoutant les producteurs de charbon.
- Ces nouveaux entrants qui veulent jouer les intermédiaires pour les collectivités .Des plates-formes telles qu’Arkea Lending Services ou Loanboox cherchent à se faire une place sur le marché du financement des collectivités. Misant sur le digital, elles mettent en avant leur capacité à simplifier et optimiser la recherche de fonds. Reste encore à convaincre les élus et les prêteurs, notamment bancaires.
.Source : Les echos
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