Revue de presse / a la une du 13/09/2018

Presse française boursière et financière du jeudi 13 septembre 2018.

Au menu de la presse française ce matin :

LE MONDE

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LES ECHOS

- Des députés veulent doper la concurrence dans l’assurance-vie .Des parlementaires proposent de donner aux épargnants la possibilité de transférer leur contrat d’assurance-vie d’une compagnie à l’autre sans perdre les avantages fiscaux associés à ce produit. Un chiffon rouge pour les assureurs.

- Banques : Bruxelles veut muscler le dispositif anti-blanchiment .Après le scandale ABLV en Lettonie, la Commission européenne entend donner un rôle central à l’Autorité bancaire européenne dans la lutte anti-blanchiment.

- BPCE engage une opération à 2,7 milliards avec Natixis .L’organe central de BPCE va acquérir les métiers de financement spécialisés de Natixis. Sa filiale va ainsi renforcer ses fonds propres et ses marges de manoeuvre.

- Erdogan prend la direction du fonds souverain turc .L’homme fort de la Turquie s’est proclamé président du fonds, s’estimant mécontent de la gestion de la précédente direction, limogée.

- Comment JPMorgan organise la succession de Jamie Dimon .Le patron de la première banque américaine, qui a encore cinq ans de mandat, laisse un peu plus de place à ses lieutenants.

- Les banques contre la démocratie .Fin septembre 2008, un bras de fer a opposé Congrès et acteurs des marchés sur le plan de sauvetage public des banques. Les marchés ont gagné. Le Congrès avait raison.

- Les ICO auront bientôt un cadre juridique .Les émetteurs d’ICO pourront demander à l’AMF un visa. Ceux qui l’auront obtenu pourront ouvrir un compte en France.

- La métamorphose des banques centrales après la chute de Lehman .+ VIDEO - La politique monétaire traditionnelle est morte avec la crise. Nouveaux outils, nouveau rôle, les banques centrales ont tout réinventé pour soutenir des économies dévastées.

- Dix ans après Lehman, les bonus divisent la finance mondiale .+ VIDEO - Quand éclate la faillite de Lehman Brothers, les politiques sont unanimes des deux côtés de l’Atlantique : il faut réguler les rémunérations variables, voire les supprimer. Dix ans après, le bilan est mitigé.

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