Revue de presse / a la une du 11/08/2018

Presse française boursière et financière du samedi 11 août 2018.

Au menu de la presse française ce matin :

LE MONDE

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LES ECHOS

- bourse : le politique prend le pas sur l’économique .Une fois les bons résultats des entreprises digérés, les investisseurs se réveillent face à la montée des risques géopolitiques. La bourse de Paris a perdu 1,59 %. L’euro est au plus bas depuis un an face au dollar.

- Turquie : les banques européennes victimes collatérales de la crise .Les valeurs bancaires européennes sont sous pression en raison de leur exposition à la Turquie.

- Jean-Charles Samuelian, une vocation qui vient de loin .Cofondateur d’Alan, une assurance santé 100 % digitale, ce trentenaire espère bousculer le secteur de l’assurance et, par là même, le système de santé.

- Après MSCI, FTSE Russell veut intégrer la Chine dans ses indices .Le fournisseur d’indices britannique FTSE Russell a déclaré qu’il pourrait donner aux actions de Chine continentale un poids plus important dans ses indices que son concurrent américain MSCI.

- La devise turque peine à se stabiliser et perd encore 13,5% .La monnaie turque, qui a perdu jusqu’à 27 % en cours de séance, limite ses pertes à 13,5 % à 6,33 livres par dollar.Les déclarations du président Erdogan et la hausse des droits de douane décidés par Donald Trump ont provoqué un nouveau krach.

- Les tensions géopolitiques réveillent l’aversion au risque en bourse .Les marchés boursiers s’enfoncent dans le rouge dans le sillage des banques. Les investisseurs se tournent de nouveau vers les actifs refuges.

- Turquie : les banques européennes chutent, entraînées par la livre .La livre turque perd plus de 15 % sur les marchés. Les banques européennes sont sanctionnées en bourse. La BCE s’inquiète de l’exposition à la Turquie de certains établissements.

- Commerzbank et Deutsche Bank risquent ne plus faire partie du gotha des entreprises cotées .Sauf coup de théâtre, les deux principales banques cotées allemandes devraient sortir de leurs indices boursiers respectifs à la rentrée. En cause, leur difficulté à rassurer les marchés, et des capitalisations devenues trop faibles.

- Faillite : Porto Rico entrevoit le bout du tunnel .L’île, placée en faillite en mai 2017, vient de signer un accord préliminaire de restructuration de sa dette.

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