
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- La guerre commerciale, ultime coup de massue pour les cours agricoles mondiaux .Première victime, le prix du soja a plongé au plus bas depuis dix ans à la bourse de Chicago. La querelle sino-américaine et les préoccupations sur la demande chinoise ne sont pas seuls en cause. Les perspectives de récoltes de céréales dans le monde sont excellentes, les stocks importants.
- La coquille à 1,4 milliard d’euros de la Banque centrale australienne .Les quelque 400 millions de nouveaux billets ultra-sécurisés de 50 dollars australiens, émis en octobre dernier, comportent une erreur d’impression. 46 millions d’entre eux sont déjà en circulation pour une valeur totale de 1,4 milliard d’euros. Ils ont cours légal, rassure la banque centrale australienne.
- Les activités de marchés encore en recul chez Natixis en début d’année .La filiale de BPCE a quasiment triplé son bénéfice net à 764 millions d’euros de janvier à mars grâce à la cession de banque de détail à BPCE. Mais ses métiers actions et taux restent en recul de 31%. Natixis accélère en M&A avec le rachat d’une nouvelle boutique en Australie, Azure Capital.
- BPCE nettoie ses comptes après l’échec de Fidor .Le groupe mutualiste a enregistré un résultat net en chute de près de 30 % au premier trimestre 2019 à la suite, notamment, de la dépréciation de sa banque en ligne allemande, actuellement en vente. Les activités de banque de détail se portent mieux.
- Italie : BlackRock renonce à intervenir pour sauver Carige .Le géant de la gestion d’actifs souhaite maintenir sa participation dans la banque sous les 25 %. BlackRock redoute aussi un effondrement de la coalition populiste. L’Etat italien pourrait être contraint d’intervenir. Il a déjà mis de côté un milliard d’euros.
- Moscou accélère ses levées de dette avant de possibles sanctions .La Russie a levé mercredi 73,3 milliards de roubles (1 milliard d’euros) d’obligations. Moscou accélère son calendrier d’émissions, alors que les Etats-Unis pourraient prendre de nouvelles sanctions à son égard. Les investisseurs américains n’auraient alors plus le droit d’acheter de la dette d’Etat russe sur le marché primaire.
.Source : Les echos
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