
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
.
Source : Le monde
LES ECHOS
- Les cinq dangers qui planent sur les banques européennes .L’année 2019 s’annonce plus compliquée que prévu pour les banques européennes. Outre l’accentuation de la politique de taux négatifs de la BCE qui s’annonce, la conjoncture économique risque de leur être moins favorable.
- Les inquiétudes sur la croissance dopent l’or et envoient les taux au tapis .L’or a franchi les 1.500 dollars l’once pour la première fois depuis près de six ans. Le taux allemand à 10 ans est descendu en séance à - 0,61 %. Et celui de la dette française de même échéance, à -0,35 %. De nouveaux planchers historiques.
- Munich Ré tient le cap .Le géant mondial de la réassurance a vu son résultat net bondir de 36 % au deuxième trimestre du fait d’une facture moins lourde des catastrophes naturelles. Le groupe allemand se dit bien parti pour atteindre ses objectifs annuels.
- Nicolas Moreau prend la tête de la gestion d’actifs d’HSBC .La banque britannique confie les rênes d’HSBC Global Asset Management à l’ex-patron de la division de gestion d’actifs de Deutsche Bank. Ancien d’AXA, Nicolas Moreau prendra ses nouvelles fonctions en septembre.
- Le pétrole, victime collatérale de la guerre commerciale .L’escalade des tensions entre la Chine et les Etats-Unis fait craindre un ralentissement de la demande de pétrole. Les cours ont reculé de plus de 20 % depuis leur dernier pic en avril. Selon un scénario noir de Bank of America Merrill Lynch, le brent pourrait chuter à moins de 30 dollars.
- Rétropédalage du fonds souverain norvégien sur les investissements pétroliers .En 2017, le plus gros fonds au monde avait annoncé vouloir se désengager de tous ses actifs liés aux énergies fossiles, ce qui représentait à l’époque plus de 37 milliards de dollars. Finalement, après les reculades du gouvernement, le montant des désinvestissements risque d’être inférieur à 6 milliards de dollars.
- Sous pression, les banques européennes révisent leurs ambitions pour 2019 .Invoquant l’impact de la politique monétaire de la BCE, UniCredit a réduit mercredi son objectif de revenus pour 2019. En Allemagne, Commerzbank a estimé que dans ce contexte, son objectif de bénéfice annuel devient également plus difficile à atteindre.
.Source : Les echos
0 Commentaire