
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- La France se finance à 30 ans au taux le plus bas de son histoire .Paris a levé 1,9 milliard d’euros d’obligations à 30 ans à 1,46 %. Du jamais vu. La France continue de bénéficier de conditions d’emprunts extrêmement favorables, liées à la recherche d’actifs sûrs et aux politiques très accommodantes des banques centrales.
- La plateforme de trading Tradeweb valorisée 6 milliards .Pour son entrée à wall street, la plateforme électronique qui permet d’échanger des produits financiers en ligne se valorise 6 milliards de dollars. L’offre aurait été sursouscrite 17 fois.
- Société Générale s’allie à une start-up indienne pour développer son assurtech .Le bancassureur noue un partenariat stratégique avec Roadzen, qui va entrer au capital de sa start-up Moonshot-Internet. Cette alliance doit lui permettre d’accélérer son développement en Europe.
- UniCredit à l’affût sur le dossier Commerzbank .En cas d’échec des discussions de rapprochement entre Deutsche Bank et Commerbank, la banque italienne envisagerait de prendre le contrôle de Commerz. UniCredit est déjà très présente en Allemagne via la banque bavaroise HypoVereinsbank. D’autres établissements européens suivent le dossier de près.
- Lyft, la licorne ciblée par les hedge funds .Jugée trop chère et trop risquée, l’action de la société de véhicule de tourisme avec chauffeur est la cible des vendeurs à découvert et des hedge funds. Avant son introduction en bourse, Carl Icahn a cédé sa participation dans cette Licorne à la société d’investissement de George Soros.
- La baisse du franc suisse menacée par son statut de devise refuge .La devise bondirait en cas de Brexit sans accord, incitant la banque nationale suisse à intervenir pour limiter l’appréciation du franc. Un scénario qui remettrait en cause son affaiblissement cette année.
- Le marché des obligations d’entreprise en pleine ébullition .Les volumes d’émission d’obligations d’entreprise en Europe ont renoué avec leurs plus hauts niveaux depuis le début de l’année. Les émetteurs profitent de taux très bas grâce au ton beaucoup plus accommodant des banques centrales. Mais la rémunération de ces titres reste intéressante pour les investisseurs.
- Les banques françaises touchées par un nombre croissant de démissions .En 2018, les établissements financiers français ont subi une nouvelle fois d’importantes vagues de démissions. Le phénomène touche notamment les plus jeunes et la banque de détail. Paradoxalement, ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle pour le secteur.
.Source : Les echos
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