
Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
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Source : Le monde
LES ECHOS
- Le prix du pétrole a connu son pire mois depuis dix ans .Le prix du baril de Brent a perdu plus de 20 % en novembre. Son pire mois depuis octobre 2008, au coeur de la crise financière. Mais la réunion de l’Opep de début décembre pourrait rebattre les cartes.
- L’ONG Public Eye exhorte la Suisse à réguler le négoce de matières premières .L’ONG pointe les risques de corruption liés à l’activité. Elle déplore l’inaction politique du pays où se négocie plus d’un tiers du pétrole brut vendu dans le monde.
- Les commissaires aux comptes cherchent à réinventer leur profession .La loi Pacte qui a été adoptée en première lecture par les députés supprime les commissaires aux comptes dans les PME. Ces derniers réfléchissent à leur avenir.
- Valeurs moyennes : les gagnants et les perdants d’une année chahutée .Après six années de hausse ininterrompues, l’indice CAC Mid and Small a subi des prises de bénéfices en 2018.
- 2018, annus horribilis pour les valeurs moyennes .Pour la première fois depuis 2011, les valeurs moyennes françaises vont faire moins bien que le CAC 40. Elles perdent près de 14 % depuis le début de l’année. Mais après six années consécutives de hausse.
- Les banques s’attaquent à la fraude aux paiements en ligne .Soucieuses de muscler leur offre face à celle de Visa et Mastercard, elles lancent un outil anti-fraude. L’objectif est de répondre aux exigences de sécurité de Bruxelles sans compliquer la vie des cyber-acheteurs.
- wendel s’arme pour le retournement de cycle .Le holding d’investissement consolide sa situation financière et accélère son recentrage, après un recul de 17,7 % de son actif net réévalué depuis janvier.
- Les grandes affaires qui ont éclaboussé Deutsche Bank .Au coeur de nombreux litiges, Deutsche Bank a payé 18 milliards de dollars d’amendes depuis la crise financière.
- La BCE voit un accroissement des risques sur les marchés .Les valorisations élevées des marchés financiers, les craintes d’illiquidité de certains actifs et les remous de la dette italienne préoccupent la BCE. Elle estime toutefois que la zone euro est bien armée pour faire face aux risques.
.Source : Les echos
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