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Une nouvelle semaine sur les marchés - Lettre hebdo d'APICIL AM - Semaine du lundi 27 mai 2024
La semaine dernière, les marchés boursiers ont fluctué, réagissant aux « minutes » de la FED et à des statistiques plus élevées que prévu, tout en attendant la publication des résultats de la star montante NVIDIA.
En fin de compte, les préoccupations concernant le calendrier des premières baisses de taux ont dominé, entraînant une clôture mitigée des indices actions, tandis que les taux souverains ont été sous pression (particulièrement la partie courte, avec un taux à deux ans américain qui flirte à nouveau avec les 5 % !).
Le point d'orgue de la semaine précédente a été sans aucun doute la publication du « Messie de l'IA » : NVIDIA, véritable baromètre de l'appétit pour l'intelligence artificielle. Fidèle à sa réputation, et malgré des attentes toujours plus élevées chaque trimestre, l'étoile montante américaine (déjà bien installée !) a de nouveau surpris avec ses résultats : 14,9 milliards de dollars de bénéfices au premier trimestre, soit sept fois plus qu'il y a un an.
Rien que ça. Pour donner une idée, c'est à peu près équivalent au bénéfice net annuel de notre fierté nationale, LVMH. La capitalisation du titre surpasse dorénavant l'ensemble du DAX allemand, symbolisant le déclin de compétitivité face aux géants de la Tech.
Malgré le soutien apporté par NVIDIA et l'atteinte de nouveaux sommets historiques sur les indices américains, les craintes inflationnistes ont resurgi. Elles ont été alimentées par des données économiques soulignant que la bataille contre l'inflation n'est pas encore complètement gagnée, ni aux États-Unis ni en Zone euro.
L'accélération inattendue des indices d'activité PMI US a surpris par sa nette progression. En effet, l'indice composite est ressorti bien au-dessus des attentes, à 54,4 (contre 51,2 attendus). Cette performance contredit la tendance « encourageante » (selon la Réserve fédérale) observée dans les dernières statistiques économiques américaines (ISM, ventes au détail, croissance du PIB.), qui pointaient vers un ralentissement de l'activité et des pressions sur les prix. La prochaine étape cruciale sera la publication de l'indicateur PCE le 31 mai, qui sort en retardé et reste cher aux yeux de Dame FED.
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