Zone euro : Les bourses européennes ont fini sur une note légèrement positive mercredi au terme d'une séance attentiste, clôturant au moment où Donald Trump entamait sa première conférence de presse depuis sa victoire à l'élection présidentielle américaine du 8 novembre.

A Paris, le CAC 40 a terminé sur un gain modique de 0,01% (0,48 point) à 4,888,71 points.
Le Dax a pris 0,54% à 11,646,17 points à Francfort et, à Londres, le footsie a gagné 0,21% à 7.
Les bourses européennes ont terminé mercredi sans direction, les unes en hausse, les autres en baisse, ayant clôturé au moment où le président américain élu Donald Trump tenait sa conférence de presse.
wall street a cédé du terrain mercredi et l'indice Standard'Poor's 500 est brièvement passé dans le rouge sous la pression des laboratoires pharmaceutiques, pris pour cible par le président élu Donald Trump au début de sa conférence de presse.
Trump, qui entrera à la Maison blanche le 20 janvier, a affirmé que les groupes pharmaceutiques profitaient en toute impunité de leur capacité de fixer les prix des médicaments, en promettant de changer les règles.
Le futur président s'était peu exprimé sur le sujet depuis son élection le 8 novembre mais son programme de campagne prévoyait de permettre au programme fédéral d'assurance santé Medicare de négocier les prix avec les laboratoires pharmaceutiques, ce que la loi lui interdit pour l'instant.
'Nous allons commencer à faire des appels d'offres.
Nous allons économiser des milliards de dollars au fil du temps', a dit Donald Trump lors de sa première conférence de presse depuis son élection.
Etats-Unis : wall street devrait ouvrir sans grand changement mercredi matin, poursuivant sa consolidation latérale des derniers jours, avant les déclarations très attendues du futur président américain Donald Trump.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats à terme sur les principaux indices américains naviguent tous autour de l'équilibre, signe d'un début de séance inchangé ou presque.
New York avait déjà fini sans grande tendance hier, calquant sa stagnation sur celle des places européenne, même si la séance s'est conclue par l'inscription de nouveaux records absolus pour le S§P 500 et le nasdaq.
Ce matin, les investisseurs seront très attentifs à la conférence de presse de Donald Trump, qui doit débuter d'ici quelques instants à New York.
Les opérateurs s'attendent à ce que le président élu, qui prêtera serment le 20 janvier, clarifie ses priorités diplomatiques et économiques, avec si possible des baisses d'impôt à la clé.
wall street évolue peu à l'ouverture mercredi, dans l'attente de la première conférence de presse du président élu Donald Trump depuis sa victoire électorale du 8 novembre.
wall street manifeste sa confiance mercredi à quelques minutes du début de la conférence de presse de Donald Trump, un événement qui devrait permettre aux marchés d'en savoir plus sur les desseins du nouveau président des Etats-Unis.
En fin de matinée, le Dow Jones progresse de 0,5% à 19,947,9 points tandis que le nasdaq composite avance de 0,1% à 5558,1 points.
Les investisseurs seront très attentifs à la conférence de presse de Donald Trump, qui doit débuter d'ici quelques instants à New York.
Les opérateurs s'attendent à ce que le président élu, qui prêtera serment le 20 janvier, clarifie ses priorités diplomatiques et économiques, avec si possible des baisses d'impôt à la clé.
Suisse : La bourse suisse a terminé sur une note légèrement négative mercredi.
Le SMI a ainsi échoué à aligner une septième séance de hausse en cette nouvelle année.
A la clôture, mercredi, l'indice SMI avait reculé de 0,26%, après avoir pourtant enregistré des hausses dans la journée.
Italie : Le groupe d'Abou Dhabi Aabar Investments devrait souscrire à l'augmentation de capital de 13 milliards d'euros d'UniCredit, qui s'annonce comme le plus gros appel au marché jamais lancé en Italie, a-t-on appris mercredi de trois sources proches du dossier.
Première banque italienne par les actifs, UniCredit devrait lancer l'opération le mois prochain dans le cadre du plan de restructuration élaboré par son nouvel administrateur délégué, le Franà§ais Jean-Pierre Mustier.
Elle s'est déjà assuré le soutien d'un groupe de banques pràªtes à acheter les titres qui ne trouveraient pas preneur, ce que sa rivale Banca Monte dei Paschi di Siena n'était pas parvenue à faire le mois dernier avant son sauvetage par l'Etat.
Le succès de l'augmentation de capital d'UniCredit constituerait un important signe de confiance dans le système financier italien, aujourd'hui affaibli par l'accumulation des créances douteuses et une rentabilité faible.
Mustier a présenté le mois dernier un plan stratégique qui inclut la cession de 17,7 milliards d'euros de créances douteuses.
FRANCE : La bourse de Paris s'est montrée aujourd'hui plus volatile qu'hier, oscillant entre 4,856 et 4,916 points.
La prise de parole de Donal Trump a fait malheureusement chuter le compartiment des pharmas avant la cloture.
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