Société : generix, croissance tirée par l`activité saas.

SIEMENS : Siemens s'est montré lundi plus optimiste pour l'année, après un premier trimestre jugé solide, alors que le conglomérat allemand continue de miser sur l'usine du futur, avec le rachat du fabricant de logiciels industriels CD-adapco pour presque 1 milliard d'euros.

La société a déboursé près d'un milliard de francs pour acquérir une entreprise spécialisée dans les programmes de simulation.

Siemens a annoncé lundi avoir revu à la hausse sa prévision de bénéfice par action (BPA) annuel après un premier trimestre meilleur qu'attendu.

Le conglomérat industriel allemand table désormais sur un BPA de 6,00 à 6,40 euros pour l'exercice 2016, entamé le 1er octobre dernier, contre une fourchette de 5,90 à 6,20 euros auparavant.

'Nous avons réalisé un bon trimestre et nous sommes en bonne voie dans la mise en oeuvre de notre plan Vision 2020.

C'est pourquoi nous relevons notre prévision de bénéfice pour 2016, même si l'évolution de la situation macroéconomique et géopolitique restent un sujet de préoccupation pour nos marchés', déclare le président du directoire, Joe Kaeser, dans un communiqué.

Au premier trimestre, clos fin décembre, le chiffre d'affaires du conglomérat industriel a progressé de 8% à 18,9 milliards d'euros et les prises de commandes de 27% à 22,8 milliards.

Le bénéfice trimestriel des activités industrielle a augmenté de 10% à 1,99 milliard d'euros.

Siemens a relevé légèrement lundi ses prévisions de bénéfice annuel, après un premier trimestre jugé solide, alors que le conglomérat industriel allemand a décidé de se renforcer dans l'informatique industrielle en rachetant l'américain CD-adapco pour 970 millions de dollars.

TYCO INTERNATIONAL : Les actionnaires de Johnson Controls vont détenir 56% du capital de la nouvelle entité et recevront en plus 3,9 milliards de dollars en numéraire, tandis que ceux de Tyco détiendraient 44% du nouveau groupe, est-il précisé dans un communiqué.

Le groupe industriel américain Johnson Controls et le conglomérat irlandais Tyco International ont annoncé lundi leur fusion, une opération qui va permettre au premier de se domicilier fiscalement en Irlande où l'impôt sur les sociétés est moins élevé.

Les actionnaires de Johnson Controls vont détenir 56% du capital de la nouvelle entité et recevront en plus 3,9 milliards de dollars en numéraire, tandis que ceux de Tyco détiendraient 44% du nouveau groupe, est-il précisé dans un communiqué.

Au final, l'opération valorise Tyco à environ 20 milliards de dollars.

Ce mariage, approuvé par les conseils d'administration des deux entreprises, va permettre à Johnson Controls de parachever sa transformation.

En effet, le groupe va donner son indépendance aux activités de fabrication des pièces détachées destinées à l'automobile considérées comme moins rentables.

Spineguard : SpineGuard a annoncé ce lundi soir l'accession de Steve McAdoo au poste de vice-président Business Development.

Dans son rôle, Steve McAdoo aura la responsabilité mondiale des partenariats avec l'industrie, de l'expansion de sa technologie de guidage chirurgical en temps réel (DSG) via de nouvelles applications cliniques ainsi que la mise en place de relais complémentaires de revenus, a détaillé le spécialiste des instruments medicaux pour la chirurgie du dos.

Il peut se prévaloir de 27 années d'expérience en marketing, en management commercial international et en 'business development' dans l'industrie des dispositifs médicaux innovants dans la chirurgie vertébrale, l'orthopédie générale, la traumatologie, le cardio-vasculaire et l'urologie.

Steve McAdoo a notamment collaboré avec de grands groupes comme Medtronic, Smith'Nephew ou encore Biomet, mais aussi avec des start-up telles que Danek Medical, Cerapedics et SURx.

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HEWLETT PACKARD : Le développeur de logiciels bancaires Crealogix s'engage dans un partenariat avec le conglomérat informatique américain Hewlett Packard Enterprise, dans le domaine de la banque numérique sur le Vieux continent.

HALLIBURTON : Le groupe de services pétroliers américain Halliburton a fait mieux que les attentes des analystes au 4e trimestre et sur l'année malgré la baisse des prix du pétrole, selon ses résultats annoncés lundiLa perte nette sur l'année s'établit à 671 millions de dollars pour un bénéfice net de 3,5 milliards de dollars l'année précédente.

Sur le trimestre, elle est de 28 millions de dollars comparée à un bénéfice net de 901 millions sur la même période en 2014.

Mais le résultat par action ajusté (sans les charges passées sur l'exercice) est bénéficiaire tant sur l'année à 1,56 dollar que sur le trimestre à 31 cents.

Les attentes des analystes étaient respectivement de 1,48 dollar et de 24 cents.

Le chiffre d'affaires est toutefois très légèrement inférieur aux attentes, à 23,63 milliards sur l'année (23,69 milliards attendus) et 5,08 milliards sur le trimestre (5,11 milliards attendus).

Genticel : Genticel a fait état ce lundi après bourse d'une situation de trésorerie et placements financiers s'élevant à 21,7 millions d'euros à fin décembre, soit 200,000 euros de plus qu'au 30 septembre, en parfaite conformité avec les anticipations de la société de biotechnologie.

generix : generix Group annonce un chiffre d'affaires du troisième trimestre 2015-16 de 15,3 millions d'euros, en croissance de 6% portée principalement par l'activité SaaS ( 38%).

Cette croissance traduit principalement le rythme de signatures observé depuis le début de l'exercice, et notamment le revenu généré par les deux contrats significatifs signés sur le premier trimestre, ainsi qu'un bon niveau de consommations sur le trimestre écoulé.

Le recul des ventes de licences est à mettre en regard avec la croissance de 170% des signatures de nouveaux contrats SaaS sur le trimestre, dans un contexte où toute nouvelle opportunité commerciale est adressée prioritairement par generix dans le modèle SaaS.

La société indique que la marge d'ebitda /CA devrait être en diminution par rapport à l'exercice précédent sous l'effet du renforcement des moyens de marketing opérationnel et force de vente entrepris en 2014-15, et des coûts variables de la force de vente liés à ces signatures.