Pétrole : Pétrole, le brut ouvre en baisse à new york, la surabondance de l'offre inquiète.En mars 2015, le prix du pétrole en euros croît de nouveau ( 1,1 %) mais plus modérément qu'en février ( 22,5 %).
Il s'établit à 51,6 € en moyenne par baril de Brent.
Les prix en euros des matières premières importées hors énergie augmentent ( 2,7 %), tant pour les matières premières alimentaires ( 2,6 %) que pour les matières premières industrielles ( 2,7 %).
Vendredi midi sur les marchés pétroliers, le contrat sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en juin se tasse de 0,5% à 63,7 dollars, le WTI américain de même échéance cédant 0,8% à 56,3 dollars.
Quoi qu'il en soit, la tendance était résolument positive pour le Brent cette semaine.
A un moment, il a tutoyé les 65 dollars, ce qui représente son plus haut niveau en plus de quatre mois.
La hausse hebdomadaire est d'ailleurs de l'ordre de 12% pour le Brent et et 9% pour le WTI.
En effet, les nouvelles de la demande sont plus positives, les prévisions de consommation de pétrole ayant été souvent été relevées dans le sillage des projections économiques.
Les prix du pétrole baissaient vendredi en cours d'échanges européens, à cause de prises de bénéfices et sur fond d'inquiétudes sur la surabondance d'offre et la demande mondiale d'or noir.
New York: Les cours du pétrole ont ouvert en baisse vendredi à New York, le marché marquant une pause après six séances consécutives de hausse, l'inquiétude sur la surabondance de l'offre reprenant le dessus sur l'espoir d'un reflux durable de la production américaine.
Vers 13H15 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mai perdait 43 cents à 56,28 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
'Il y a des prises de bénéfices', a commenté Gene McGillian, de Tradition Energy, estimant que la hausse des derniers jours, dont près de 6% enregistrés durant la séance de mercredi, était injustifiée.
'Les marchés ont monté en dépit de l'absence de changement notable dans l'excès d'offre', a-t-il dit: 'nous continuons à voir les stocks augmenter aux Etats-Unis même si c'est plus lentement que ces mois derniers, et le recul de production n'est que de 20,000 barils par jour, ce n'est pas grand chose vu que la production s'élève à 9,4 millions de barils par jour (mbj)'.
antananarivo: L'Etat malgache a officialisé son accord pour la phase de développement des activités d'extraction et de commercialisation du pétrole, huile lourde, du site de Tsimiroro (sud-ouest) pour les 25 années à venir, a indiqué vendredi la société Madagascar Oil.
New York: Les cours du pétrole ont reflué vendredi à New York, marquant la fin d'une série de six séances de hausse en dépit d'une nouvelle baisse du nombre de puits en activité aux Etats-Unis.
Métaux précieux : Métaux industriels, prix en hausse, attentes de stimulus de l'économie chinoise.
Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME) ont presque tous progressé cette semaine malgré un ralentissement de la croissance chinoise au premier trimestre, les investisseurs s'attendant à de nouvelles mesures du gouvernement pour enrayer l'essoufflement de la deuxième économie mondiale.
La croissance économique de la Chine a décéléré fortement sur les trois premiers mois de l'année, ralentissant à 7,0% sur un an.
Mais les cours ont plutôt bien résisté à la nouvelle, car les investisseurs s'attendent à ce que la Chine mette en place de nouvelles mesures pour stimuler son économie.
'La question aujourd'hui sur les marchés est de savoir si, quand et comment les dirigeants chinois vont introduire des mesures de stimulus,' ont noté les analystes de Sucden.
Les prix du cuivre sont montés vendredi à leur plus haut niveau en trois semaines, à 6147 dollars la tonne.
L'or est resté stable cette semaine, soutenu par un dollar quelque peu affaibli par des indicateurs américains décevants, ce qui pourrait repousser l'échéance d'une hausse des taux de la réserve fédérale américaine (Fed) dans les prochains mois.
Le métal jaune est tombé mardi à son plus bas niveau en deux semaines, à 1184,03 USD l'once, mais s'est ensuite repris, s'échangeant autour du seuil psychologique de 1200 USD l'once.
La relative faiblesse du dollar a redonné le moral aux férus de métaux précieux, selon plusieurs analystes, même si l'or peine à rebondir fermement.
Le billet vert a été lesté cette semaine par des indicateurs américains décevants.
Or, un dollar faible a tendance à rendre les matières premières libellées dans cette monnaie plus attrayantes pour les acheteurs munis d'autres devises.
Alimentaires : Alimentaires, plus stable, la pression persiste en raison d'une offre copieuse.
Le cacao et le café se sont stabilisés cette semaine, mais restent sous la pression de possibles bonnes récoltes en Afrique de l'ouest et au Brésil, tandis que le sucre reste plombé par la surabondance d'offre.
Malgré une réglementation stricte et des consommateurs sceptiques, les producteurs de compléments alimentaires ne connaissent pas la crise.
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