Bourse : Prudence du CAC 40 avant une nouvelle salve de résultats, à suivre FDJ
Jeudi 18 avril 2024 08:49
.comLes crypto-monnaies sont dans le rouge mercredi, alors que le géant financier Goldman Sachs (NYSE: GS) se retire de son projet de trading de Bitcoin.
L'institution financière se concentrera plutôt sur d'autres projets, tels que la détention de crypto-monnaies pour le compte de clients à gros fonds, mais pourrait se tourner vers une plateforme de trading à l'avenir, a indiqué Business Insider.
Goldman Sachs participe déjà aux contrats à terme et aux contrats sur Bitcoin, ce qui permet aux investisseurs de parier sur le prix de Bitcoin sans en être propriétaire.
Les monnaies alternatives ayant gagné en popularité, de nombreuses entreprises de wall street cherchent des moyens de s'implanter dans ce domaine.
Mais avec Bitcoin en baisse de près de 70% depuis son sommet de près de 20 000 $ en décembre, cet intérêt est en train de disparaître.
Le Bitcoin ( BitfinexUSD) a chuté de 5,05% à 7 019,30 $ sur la plateforme d'échange Bitfinex, à 8 h 23 HE (12 h 23 GMT).
Les crypto-monnaies ont globalement progressé, avec une capitalisation boursière totale de 239 milliards de dollars au moment de la rédaction de cet article, contre 235 milliards de dollars lundi.
L'Ethereum, la deuxième crypto-monnaie par capitalisation boursière, a chuté de 11,46% à 259,67 dollars, tandis que XRP, troisième crypto-monnaie en importance, a diminué de 11,16% à 0,40437 $ et le Litecoin était à 62,383 $, en baisse de 9,66%.
Dans d'autres nouvelles, le gouvernement iranien a accepté de reconnaître l'exploitation minière des crypto-monnaies en tant qu'industrie.
La Banque centrale d'Iran devrait élaborer un cadre politique pour les cryptomonnaies au cours des 18 prochains jours.
Alors que la politique finale n'a pas encore été déclarée, on espère que l'utilisation de crypto-monnaies contribuera à faciliter les échanges commerciaux entre Téhéran et ses partenaires à la suite de nouvelles sanctions américaines.
La Maison Blanche a imposé des sanctions visant à réduire la production pétrolière de l'Iran qui devraient entrer en vigueur en novembre.
L'Iran est le troisième producteur de pétrole au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
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